La femme de Ronaldo calme le jeu Milene Domingues, la femme de l'attaquant vedette de la sélection brésilienne de football et du Real Madrid, Ronaldo, a avoué mardi que son mariage battait de l'aile, mais a assuré que le couple n'avait «pas pensé au divorce jusqu'à maintenant», au micro d'une radio colombienne. «Je suis toujours amoureuse même si je ne peux pas dire que c'est comme avant. Notre mariage traverse une passe difficile et s'est un peu usé. J'espère que le temps nous dira quoi faire», a déclaré Milene, 24 ans, depuis Madrid à la radio colombienne W FM. Mardi, le porte-parole de Ronaldo, Rodrigo Paiva, avait indiqué que l'attaquant de la Seleçao était en instance de divorce d'avec son épouse Milene Domingues. «Les rapports entre eux se sont dégradés depuis quelque temps», a déclaré M. Paiva. 31,2 millions de Russes vivent sous le seuil de pauvreté En Russie, 31,2 millions de personnes vivaient avec moins que le minimum vital au troisième trimestre de cette année, soit 21,9% de la population, selon les chiffres du Comité d'Etat aux statistiques publiés mercredi. Ce chiffre marque une amélioration par rapport à la même période de l'année précédente, où 35,4 millions de Russes vivaient sous le seuil de pauvreté, soit 24,7% de la population. L'Arc de triomphe en travaux L'Arc de triomphe, le monument national le plus visité à Paris, fait l'objet de travaux de restauration qui doivent se poursuivre jusqu'en juin 2005, a annoncé mercredi le Centre des monuments nationaux. Le monument, qui a accueilli 1,258 million de visiteurs en 2002, sera fermé au public du 8 au 22 décembre 2003, en raison des restaurations intérieures des salles basses. Un village fidjien demande pardon d'avoir dévoré un missionnaire Des centaines de villageois se rassemblent, ce jeudi dans le village de montagne de Nabutautau aux îles Fidji, pour demander pardon d'un acte de cannibalisme sur un missionnaire qu'ils croient à l'origine d'une malédiction de plus d'un siècle. En 1867, le missionnaire méthodiste britannique Thomas Baker et huit de ses collègues fidjiens ont été dévorés par les hommes du village. 136 ans plus tard, la communauté espère que les descendants australiens du religieux accepteront les excuses. Car, depuis le massacre Nabutautau est un village maudit, estiment ses habitants : plusieurs lignées familiales ont disparu, aucun enfant n'a réussi à dépasser le stade du lycée et la marijuana est devenue une plaie. Le bourg n'a ni routes, ni électricité, ni école, ni installations sanitaires. «Nous devons faire face à tant de difficultés», explique le «ratu» (chef) Filimoni Nawawabalevu. «Nous croyons que nous sommes victimes d'un sort et nous devons demander pardon pour ce qui s'est passé... Une fois cela fait, nous serons à nouveau purs», explique un septuagénaire.