Résumé de la 20e partie n Mustapha et ses parents viennent demander la main de Malika. La famille attend l'arrivée du prétendant. La sonnette retentit. Ouardia court ouvrir. — bienvenue, bienvenue ! Elle embrasse Louisa, la mère de Mustapha, comme si elle la connaissait depuis des années, elle tend la main à son père, Brahim. — Allez tout droit ! Mustapha, resté le dernier, ne sait que faire, avec son énorme bouquet de fleurs à la main. Ouardia, sans hésiter, le prend dans ses bras. — Bienvenue, mon fils ! Slimane et les garçons se lèvent pour accueillir les invités. — Bienvenue ! On leur demande de prendre place au salon. — il commence à faire chaud, dit Slimane. — Oh, oui, dit Brahim, cet été, ce sera la canicule… — je vais chercher des rafraîchissements, dit Ouardia. — Ne te dérange pas, dit Louisa. — Bouh, dit Ouardia vous n'êtes pas entrés dans une mosquée ! Tandis qu'elle va chercher les limonades, les hommes continuent à parler du temps pendant un moment. — servez-vous, dit Ouardia, qui revient avec un plateau de limonades et de gâteaux ! — il ne fallait pas vous déranger, dit Louisa — Tu appelles cela un dérangement ! Nous vous considérons déjà comme de la famille ! — oui, dit Louisa, nous souhaitons que nos familles ne fassent plus qu'une ! Le ton est donné. La parole est maintenant aux hommes. — vous savez pourquoi nous venons ? dit Brahim. C'est pour nos enfants, Mustapha et Malika… Brahim hoche la tête, prenant un air rêveur. — ces deux enfants, c'est le destin qui veut les réunir… vous savez tous comment ils se sont rencontrés ? Mustapha était mourant et Malika était à son chevet… Louisa se rappelle émue. — je criais dans les couloirs de l'hôpital et elle est venue vers moi pour me rassurer… Elle a vu mon fils et elle savait qu'il était vivant ! — c'est émouvant, dit Slimane. — Tu peux le dire… et elle a continué à le soigner avec dévouement… Louisa pleure. — vous avez une fille merveilleuse ! — votre garçon n'est pas en reste, dit Ouardia qui essuie aussi une larme. Brahim tranche. — alors, puisqu'ils le désirent unissons-les ! en même temps unissons nos deux familles ! (à suivre...)