Résumé de la 7e partie n Belkacem est à l'hôpital, victime d'une hémorragie cérébrale. Sa femme et sa fille veulent l'envoyer à l'étranger. On arrive à l'hôpital. Dès que Sabrina aperçoit Mohammed, elle s'élance vers lui. — où est-il ? — il est en réanimation… — je veux le voir… — tu ne peux pas… Elle se met à pleurer. Mohammed est bouleversé. — attends, mon ami, le médecin, va bientôt arriver, il s'arrangera pour te faire entrer… — avec qui faut-il discuter pour un éventuel transfert à l'étranger ? demande Djazia. — c'est mon ami qui va s'en occuper ! Sabrina et Djazia se mettent dans la salle d'attente, en attendant que l'ami de Mohammed arrive. Cependant, Mohammed ne perd pas son temps et va demander aux infirmiers des nouvelles du patient. Il revient. — Son état est toujours stationnaire ! Sabrina secoue la tête. — on n'arrête pas de nous le dire… Stationnaire, stationnaire… Il n'y a donc pas d'évolution positive ? — Estimons-nous heureux qu'il n'y ait pas de dégradation, dit Mohammed. — je veux le voir ! dit Sabrina, lui parler, l'entendre… Djazia se montre plus réaliste. — espérons d'abord qu'il reprenne connaissance, dit-elle. — on lui prodigue tous les soins qu'il faut pour cela, mais il faut se montrer patient ! A ce moment-là, le médecin que Mohammed attend, arrive. — Toufik, c'est toi ! Les deux hommes se font la bise, puis Mohammed explique la raison de sa présence à l'hôpital. Sabrina vient aussitôt vers lui. — s'il vous plaît, docteur, je voudrais voir mon père ! — je vais m'en occuper tout de suite, dit le médecin. — moi aussi, dit Djazia, c'est mon mari… — venez, dit Toufik. Les deux femmes partent, accompagnées de Mohammed. Toufik les fait entrer dans une sorte de vestiaire. — vous allez revêtir ces combinaisons et mettre ces coiffes… C'est pour l'asepsie à l'intérieur du bloc de réanimation ! Les deux femmes revêtent les costumes et le médecin les accompagne. Sabrina étouffe un sanglot, en voyant son père. — papa… Elle voudrait bien se jeter sur lui et le serrer dans ses bras. Mais les machines et les tuyaux qui l'encombrent, la gênent. — venez, dit le médecin (à suivre...)