Résumé de la 18e partie n Contre l'avis de Zoulikha, Mériem décide de faire venir sa petite-fille, Nadia, pour la mettre en contact avec son petit-fils Rachid. Quelques jours après, Mériem téléphone à Zoulikha. — Passe à la maison ! — C'est à propos de Nadia et de Rachid ? — Oui, dit la grand-mère. — Tu as proposé à Rachid, Nadia ? — Viens et tu sauras tout ! Et elle raccroche. — La misérable, elle ne veut rien dire. Comme par hasard, ce jour-là se trouvait chez elle Fatma, dont elle voulait faire épouser la fille à Rachid. — C'est insupportable ! dit-elle. — Rien n'est encore joué… Peut-être que Rachid ne veut pas de cette Nadia… — Cela m'étonne ! — Elle aurait pu me dire qu'il la veut et l'affaire est réglée ! Non, il doit y avoir quelque chose ! Fatma la supplie. — Tu auras tout ce que tu voudras ! — Je ferai tout mon possible pour t'aider ! — Ma fille en mourrait si elle n'épousait pas Rachid. Le même jour, Zoulikha se rend chez Mériem. — Alors, lui dit-elle, tu me caches quelque chose ? — Au contraire, je t'apporte des nouvelles qui vont te réjouir ! Zoulikha se met à espérer. — Alors ? — Alors, Rachid accepte d'épouser Nadia ! — Comment cela ? — Après le départ de Nadia, je lui en ai fait la proposition : il a accepté ! — Tu lui as forcé la main ! — Pas du tout ! — Si, si, j'en suis sûre ! — Mais tu ne me laisses pas parler : je les ai surpris en train de se parler ! — Et alors ? dit Zoulikha avec hostilité. — J'ai forcé Nadia à tout me dire : il est amoureux d'elle, il veut l'épouser ! Zoulikha suffoque. — Elle t'a dit cela ! Mais c'est une dévergondée ! Mériem défend sa petite-fille. — C'est moi qui l'ai forcée ! Tu ne sembles pas contente ? — Non, non, je suis contente pour ton petit-fils ! — Voilà un problème de résolu, dit Meriem. (à suivre...)