«Il n'y a pas de faute grave, et si c'était le cas, notre proviseur devrait passer en conseil de discipline qui statuera sur son cas. Ce n'est pas Benbouzid qui le suspendra.» «C'est un abus de pouvoir…». Ces propos émanent des professeurs du lycée Ibn Nass, d'Alger-Centre. Ces derniers, épaulés par les élèves ainsi que par l'association des parents d'élèves, sont entrés en protestation ce matin, pour «dénoncer la décision du ministre de l'Education qui a suspendu arbitrairement le proviseur du lycée». Nous y reviendrons dans notre prochaine édition.