Il fut un temps où nos plages connaissaient une affluence importante de touristes venant des quatre coins du globe, se dorer au soleil de l'Algérie. Les plages ne désemplissaient pas au temps des sables d'or, des vertes rives et des corniches …Aujourd'hui, les choses ont beaucoup changé. De touristes étrangers point. Et nos plages continuent d' être menacées par la pollution, le laisser-aller et, surtout, l'irresponsabilité exagérée de ceux qui ont la charge et la mission de mettre en valeur nos merveilleuses côtes que ce soit les plages algéroises, les sulfureuses plages d'Annaba, ou celles de la côte oranaise, sans oublier le club-des-pins d'autrefois, Moretti, Zéralda et toutes les autres plages dorées de la grande Algérie dans le temps. Est-ce une fatalité ? Bien sûr que non , il suffit d'un peu de volonté pour rendre à nos plages la renommée qui faisait courir des centaines de milliers de vacanciers de toutes nationalités que l'on rencontrait à Mosta , aux andalouses à Zigouat… Il incombe aux responsables du secteur la lourde responsabilité de faire en sorte que nos plages et pourquoi pas les autres sites forestiers et nos campagnes soient enfin une destination privilégiée comme c'était le cas jadis. Parmi les plages algéroises, Palm-Beach. Celle ci connaît depuis peu une affluence particulière, devenant la destination prisée de citoyens venus de l'intérieur du pays. De simples estivants mais aussi des immigrants clandestins sillonnent, eux aussi, cette plage de l'ouest de la capitale. La sécurité demeure l'un des points forts qui caractérise cette plage. Cependant, l'hygiène laisse à désirer et ce, malgré les mesures prises, Il faut dire que les vacanciers n'y mettent pas du leur.