Résumé de la 29e partie n La police apprend qu'un correspondant mystérieux vient d'appeler madame Tetzner. L'appel vient de Strasbourg. L'agent, qui a appris la nouvelle, prend aussitôt contact avec le bureau de poste de Strasbourg pour connaître l'origine de l'appel. Celui-ci vient du bureau même de la poste de Strasbourg. On ne connaît pas le correspondant, qui n'a pas donné son nom. Il en informe aussitôt son chef, Kriegern. — Il n'a pas donné son nom ? — Non ! — On tient Tetzner ! dit le policier. — J'ai appelé Strasbourg, mais on n'est pas arrivé à l'identifier ! — Bien sûr qu'il n'allait pas donner son nom… D'ailleurs, il ne faut pas qu'il se doute qu'on est entré en contact avec Strasbourg ! — Qu'allons-nous faire ? — Pardi, je vais me rendre à Strasbourg ! Aussitôt dit, aussitôt fait, Kriegern se rend, par avion à Strasbourg : il est bien décidé à prendre le fameux correspondant en flagrant délit. Sans perdre de temps, il prend un taxi et se rend au bureau de poste. Il va voir le chef de service et donne le numéro des voisins de Tetzner. — A-t-on appelé ce numéro ? Des vérifications sont faites. — Non ! Alors, je vais attendre, dès qu'un correspond le demande, informez-moi ! A dix-huit heures précises, un homme arrive et entre dans une cabine. C'est alors qu'on vient informer le policier. Ce correspondant demande le numéro en Allemagne ! Kriegern se lève précipitamment et ouvre la porte de la cabine. — Straneli ? demande-t-il L'homme le regarde, surpris. — Pardon ? — Vous êtes bien Straneli ? L'homme bredouille. Et avant qu'il n'ait le temps de trouver une réponse cohérente, le policier lui dit. — Ce n'est pas votre nom, bien sûr ! — Je… — Ce n'est pas votre nom ! L'homme répond, en tremblant. — Non ! — Alors, qui êtes-vous ? demande Kriegern — Je suis… je suis… murmure l'homme — Qui êtes vous ? — Pourquoi m'interrogez-vous ? — Je suis policier (à suivre...)