Un ex-champion du monde pourrait bien créer la surprise tant il a une expérience considérable du Monte Carlo : même à plus de 50 ans, Didier Auriol a montré en 2007 qu'il savait encore aller très vite et ses 3 victoires en 1990, 92 et 93 lui donneront un avantage qui peut être déterminant sur les 350 km d'épreuves spéciales de ce rallye. Il disposera d'une 207 Super 2000 de l'écurie italienne Grifone. Deux autres 207 Super 2000 sont engagées par l'Italien Tobia Cavallini et le Slovène Andrej Jereb. «Nous savons que le Monte Carlo est l'un des rallyes les plus difficiles, confit Olivier Quesnel, directeur de Peugeot Sport; notamment dans le choix de pneumatiques lorsque plusieurs spéciales aux conditions diverses s'enchaînent et par tous les pièges que l'on peut rencontrer sur un parcours aussi varié que cette année ; cela rend tout pronostic aussi ardu qu'incertain.»