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Histoires vraies
Le yacht sans nom (2e partie)
Publié dans Info Soir le 14 - 03 - 2009

Résumé de la 1re partie n Le capitaine Anthony Scott est persuadé que le yacht sans pavillon va attaquer son navire le «Palmyre».
Ronald Reeves intervient à son tour :
— Et les occupants du yacht, qui était-ce ?
— Une famille américaine qui faisait le tour du monde : le père, la mère et quatre enfants, plus deux marins.
— Ils les ont faits prisonniers ?
— Certainement pas. Il aurait été bien trop difficile de les surveiller, sans compter qu'il aurait fallu les nourrir. Ils les ont certainement passés par-dessus bord.
Le marin, qui n'avait cessé de suivre les évolutions du bateau blanc à la jumelle, intervient :
— Capitaine, je vois distinctement sa coque. Il n'a pas de nom !
— Et il vient toujours sur nous ?
— Droit sur nous. Il a l'air très rapide.
Il y a un moment de silence. Le capitaine Anthony Scott regarde les deux hommes en hochant la tête.
— Vous êtes chasseurs, m'avez-vous dit ?
Ronald Reeves et Dave Rogers sont devenus subitement graves.
— Oui, capitaine. Vous pouvez compter sur nous !
Dave Rogers ajoute :
— J'ai deux carabines. Voulez-vous vous joindre à nous ?
Le capitaine fait un signe d'assentiment.
— Je ne suis pas un spécialiste, mais je ferai de mon mieux.
C'est ainsi que, le 17 mai 1963, quelque part dans l'océan Pacifique au large de la Nouvelle-Zélande, va avoir lieu une histoire de pirates en plein xxe siècle.
Il n'y a maintenant plus aucun doute : le yacht sans nom se rue à l'abordage du «Palmyre». Les passagers ont été consignés dans leurs cabines, à part évidemment Dave Rogers et Ronald Reeves. Sur le pont du yacht, on distingue des hommes de type asiatique armés de fusils et de mitraillettes. A l'avant, une bâche de couleur verte dissimule quelque chose. Les interrogations à son sujet ne durent pas longtemps, car deux pirates la retirent, découvrant une mitrailleuse.
Le capitaine Scott échange ses impressions avec les deux chasseurs, qui sont à présent munis chacun d'une carabine à lunette et qui lui en ont donné une troisième pour lui-même.
— Leur puissance de feu est bien supérieure à la nôtre. Ils sont sept avec une mitrailleuse et des mitraillettes.
— Oui, mais nous avons deux avantages : notre position et l'effet de surprise. Nous sommes beaucoup plus hauts qu'eux et ils ne s'attendent pas à ce que nous soyons armés. Le tout sera de ne pas rater notre coup. Comment pensez-vous manœuvrer, capitaine ?
— Dès que le yacht sera à notre portée, j'ordonnerai un brusque changement de cap, de façon à leur présenter l'avant du cargo. Espérons qu'ils n'auront pas le temps de manœuvrer eux-mêmes pour nous prendre de travers.
— Alors il faut que nous nous installions à la proue ?
— Oui. Allez-y ! Je vous rejoins après la manœuvre. (à suivre...)


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