Je ne sais quoi dire. Consterné et affligé comme toute l'équipe du journal. Encore grande est mon affliction. Un patron «généreux», humain qui faisait participer ses journalistes/correspondants régionaux aux diverses rubriques et dossiers. En plus, en ces temps de crise que vit la presse écrite à cause de la baisse des rentrées publicitaires, il s'est mobilisé pour honorer son staff et ne pas léser leur situation socioprofessionnelle. Cela n'est pas le propre de tous les responsables de presse. Je n'ai pas eu l'occasion d'assister aux centaines de réunions de rédaction qu'il a mené, mais je garde en mémoire les mots qu'on s'était échangés dans son bureau à chaque fois que je passais à la Tribune. Paix à ton âme, grand frère. Allah Yarhmek.