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On ne peut pas contrôler une intelligence artificielle
Au vu des développements de la robotique
Publié dans La Tribune le 17 - 05 - 2011


Les robots deviennent chaque jour plus précis et plus agiles, et ceux du futur le seront plus, comme ce robot nommé Frida (Friendly Robot for Industrial Dual-Arm Assembly, pour de l'assemblage industriel à deux bras), souligne Singularity Hub. Les développements en termes d'intelligence artificielle les rendent capables d'évoluer et de s'entraider.Les «Trois lois de la robotique», que le physicien et auteur de science-fiction Isaac Asimov avait édictées en 1942, sont-elles devenues un mythe ? C'est l'avis d'Aaron Saenz, de Singularity Hub.La première loi, («un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger») est, selon lui, caduque. D'une part, les drones et autres robots sophistiqués sont aujourd'hui principalement développés par des militaires, précisément à des fins de guerre (de surveillance ou d'attaque sur des humains). D'autre part, les robots capables d'effectuer une opération de chirurgie brisent déjà cette loi.La seconde loi, («un robot doit obéir aux ordres que lui donne un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la première loi») ?«Nous ne voulons pas que les robots obéissent à n'importe qui, nous voulons qu'ils obéissent à leur propriétaire. Achèteriez-vous une caméra de sécurité qui se couperait chaque fois que quelqu'un le lui demanderait ?»Enfin, la troisième loi, «un robot doit protéger son existence tant que cette protection n'entre pas en conflit avec la première ou la deuxième loi», resterait valide. Mais uniquement, selon lui, à cause du prix élevé des robots.Pour autant, malgré toute la littérature - plutôt pessimiste - écrite sur le sujet, peut-on limiter l'intelligence que l'on donne aux machines ?«Nos machines sont nos outils, et l'humain avec les meilleurs outils gagne. Nous subissons de fortes pressions économiques et politiques pour construire des machines intelligentes.»Quelques projets, comme le Blue Brain Project, tentent d'explorer les processus du cerveau, et de reproduire ses fonctions afin de créer une intelligence artificielle au moins aussi puissante que nos cerveaux humains.Mais contrôler l'intelligence «ne fonctionne pas sur les humains, ne fonctionnera certainement pas sur des machines ayant des capacités d'apprentissage supérieures aux nôtres», selon Aaron Saenz.Enfin, nous sommes déjà, explique-t-il, dans un autre article, entourés de systèmes employant une intelligence artificielle. Par exemple dans la manière dont nos appels téléphoniques sont acheminés, ou dans la manière dont nos moteurs de recherche traitent nos requêtes.

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