Attribution de 360 logements dans la wilaya d'Oran Au total, 360 logements sociaux participatifs (LSP) ont été attribués, hier dans la wilaya d'Oran, à leurs souscripteurs, dans le cadre du Fonds national de péréquation des œuvres sociales (FNPOS). L'opération de distribution, 200 à haï Akid Lotfi (Oran) et 160 unités à Gdyel, a été marquée par une cérémonie de remise symbolique des clefs à des souscripteurs en présence du wali d'Oran, des cadres du FNPOS, du secrétaire de wilaya de l'UGTA et du directeur de l'OPGI. Ce quota de logements sociaux, faisant partie d'un programme de réalisation de 1 110 unités au niveau de la wilaya d'Oran, a été financé grâce aux aides et prêts fournis par le Fonds national de péréquation des oeuvres sociales (FNPOS), dont le montant des prestations est estimé à 222 millions de dinars.Le montant total des prestations (aides et prêts) de ce programme FNPOS est évalué à près de 780 millions de dinars. Le reste du programme FNPOS dans la wilaya est en cours de réalisation à Arzew, avec 200 logements, à haï Es-Sabah (Oran), avec 368 unités et à Hassi Bounif, avec 182 logements. Les taux d'avancement des travaux sont, respectivement, de 22%, 20% et 75%, selon le directeur du FNPOS. Le même responsable a annoncé, à l'occasion, que le quota de Hassi Bounif sera réceptionné en mars prochain, celui de haï Es-Sabah en décembre 2012 et celui d'Arzew en février 2013. Plus de 800 projets financés au cours des quatre derniers mois à Naâma Plus de 800 projets ont été financés au cours des quatre derniers mois, dans la wilaya de Naâma, par le biais du dispositif des microcrédits, a-t-on appris auprès de l'antenne locale de l'Agence nationale de gestion du microcrédit (ANGEM). Ces projets ont généré 900 emplois en faveur de jeunes promoteurs, qui ont bénéficié de crédits sans intérêts, notamment pour les projets initiés par les femmes au foyer et les diplômés d'universités, a expliqué la même source. Le nombre de projets financés entre les mois de juin et août derniers est considéré comme plus élevé que ceux avalisés tout au long des trois dernières années. Ceux-ci sont au nombre de 735, a-t-on fait remarquer. Cet engouement des jeunes s'explique, selon la même source, par les mesures incitatives et les facilités accordées par l'Etat aux jeunes universitaires, aux promus des établissements de la formation professionnelle et aux femmes au foyer, pour réaliser leurs projets et créer des activités économiques, de production et de services. La hausse des demandes sur les microcrédits, par rapport aux années précédentes, est aussi justifiée par les responsables de l'ANGEM par la désignation, par l'Agence, d'accompagnateurs des jeunes promoteurs dans les différentes daïras, et l'intensification des campagnes d'information et de sensibilisation au niveau des communes. Des campagnes similaires ont également été organisées en direction des pensionnaires des établissements pénitentiaires d'Ain-Sefra et El-Biodh, notamment les artisans, pour leur faire connaître le dispositif de l'ANGEM et les faire bénéficier au terme de leur peine, a fait savoir la même source.