Bloqué par les instances de régulation de l'UEFA qui veille au grain sur les recrutements, veillant à ce qu'aucun club ne s'endette davantage qu'il ne s'enrichit, le PSG vit visiblement mal cette interdiction comme le rapporte goal. "Le PSG est très atteint par le fair-play financier. Paris est très gêné, et la situation ne se débloquera certainement pas avant lundi (la fin du mercato hivernal)". Manchester City, dont le cas semble similaire à celui du PSG, avait selon lui "la chance d'avoir beaucoup de joueurs à vendre", ce qui n'était pas forcément le cas du club de la capitale : "Il faut vendre pour acheter. A Paris, la réalité, c'est qu'on achète et qu'on ne vend pas beaucoup. Notre marge de manœuvre est donc très très faible". Pourtant, à en croire l'entraineur français, tous les clubs en Europe ne serait pas traités à la même enseigne : "Ce fair-play financier est très compliqué. Surtout, je m'aperçois qu'il y a des clubs qui sont surveillés de loin, avec plus de liberté, et d'autres qui sont surveillés, avec beaucoup moins de liberté".