Cette décision intervient après les accusations de l'un des candidats à la présidence de la Fifa, a annoncé lundi l'instance dans un communiqué et tel que rapporte Sport24 et au surlendemain de la dénonciation par le prince Ali, l'un des cinq prétendants à la présidence de la Fifa, de la signature d'un accord de coopération entre les Confédérations africaine et asiatique, présidée par le Cheikh Salman Bin Ebrahim Al Khalifa, également candidat. La CAF a nié tout lien entre cette décision et les accusations du prince Ali, qui évoque une "tentative de violer les règles électorales".