Serrar et Hammar souhaitent que la ligue revoie les sanctions. Comme prévu, l'adversaire de l'Entente de Sétif en huitièmes de finale de la Ligue des champions africaine, à savoir la formation zambienne de Zanaco, est arrivée dans la matinée d'hier, à l'aéroport Houari-Boumediène, où ils ont pris le déjeuner dans un restaurant de l'aéroport. Ce n'est que quelque heures plus tard que les Zambiens ont rejoint la ville de Aïn Fouara par le vol Alger-Sétif de 16h30. K. Bwalya, une femme parmi les joueurs ! La direction sétifienne a laissé le soin au dirigeant Bourahla ainsi qu'à Aâmi Lakhdar de recevoir les Zambiens à l'aéroport d'Alger. Ces derniers ont été surpris de constater la présence d'une femme parmi les joueurs. En fait, il s'agissait de la chef de délégation. Pour une surprise, c'en était une. Espérons seulement que les équipiers de Bouazza ne seront pas surpris sur le terrain. Les Zambiens ont voulu assister à la demi-finale Après avoir appris que l'Entente jouera, dans la soirée, une rencontre de demi-finale de Coupe d'Algérie, les Zambiens ont tous été enthousiasmés à l'idée de se rendre au stade pour suivre la prestation de leur futur adversaire. Après avoir eu écho que leur présence au stade ne sera pas vue d'un bon œil, ils ont finalement changé d'avis, préférant ainsi voir le match en direct sur le petit écran. Cela ne les empêchera pas de superviser leur adversaire et se faire une idée sur les capacités des Sétifiens qui se donneront à fond pour espérer disputer la finale de la Coupe d'Algérie.
Serrar et Hammar souhaitent que la ligue revoie les sanctions Après la décision de la commission de discipline de tenir compte des cassettes vidéo des matchs pour annoncer ses sanctions, comme ce fut le cas pour le défenseur Benchadi, ainsi que le portier mouloudéen, Zemmamouche, le président Serrar et son bras droit Hammar espèrent, eux aussi, que leurs dossiers soient de nouveau traités, surtout que l'arbitre Achouri, ce jour-là, n'a rien noté d'anormal sur la feuille de match, avant de constituer un dossier accablant sur eux. Le président ne joue plus le rôle d'entraîneur Connu pour être un excellent président en matière de gestion, le premier responsable de la formation sétifienne, Serrar, a toutefois essuyé des reproches en s'immisçant dans le travail des entraîneurs. Acceptant cette critique, il a déclaré récemment que depuis l'arrivée de Zekri, il se contente uniquement du volet administratif.