Il reste encore trop de zones d'ombre à éclaircir afin de pouvoir travailler sur des bases solides. Les membres de la commission chargée du traitement et de la préparation du dossier de passage au professionnalisme se trouvent devant une situation difficilement gérable. En effet, selon plusieurs membres, il reste encore trop de zones d'ombre à éclaircir afin de pouvoir travailler sur des bases solides. A leurs interrogations il n'y a pas encore toutes les réponses de la part de la structure fédérale chargée d'orienter les clubs, en particulier ceux de la seconde division. Cette situation a poussé le président Ounis à prendre certaines mesures pour parer à toute éventualité : «Pour l'heure on n'est pas encore définitivement fixés sur ce qu'il y a à faire. Il y a encore trop d'hésitations et cela nous freine dans notre activité. On se trouve dans l'obligation de se préparer au passage au professionnalisme sans écarter éventualité de rester avec notre statut habituel. Je pense que des mesures plus concrètes pourraient voir le jour une fois la Coupe du monde terminée. A défaut de rester les bras croisés, nous allons, en étroite collaboration avec les membres de l'assemblée générale, tenter de prendre les dispositions qui s'imposent.» C'est donc une phase de doute et d'interrogations qui freine les efforts des uns et des autres. Toujours est-il que dans le camp de la formation clubiste on reste décidé à ne rien négliger pour mettre sur pied une formation compétitive pour l'exercice à venir.