Depuis qu'il s'est confié sur sa vision du fiasco français en Afrique du Sud, William Gallas reçoit les foudres de bon nombre d'observateurs. Depuis qu'il s'est confié sur sa vision du fiasco français en Afrique du Sud, William Gallas reçoit les foudres de bon nombre d'observateurs. Après Luis Fernandez et Jean-Michel Larqué, impitoyables avec le défenseur des Bleus, c'est Arsène Wenger en personne qui s'en est pris à son ancien pensionnaire. «Il y a depuis longtemps une forme de solidarité de façade chez les Bleus. Un discours d'unité feint qui ne s'est jamais concrétisé sur le terrain. Ni solidarité, ni unité. On peut toujours parler, parler... Quand tu bats les Féroé 1-0 en éliminatoires, comment peux-tu venir à la Coupe du monde en espérant battre l'Argentine 4-0. Sans joueurs intelligents, tu ne peux pas gagner. Les miens en ont. Clichy, Diaby, Sagna. Gallas, lui, n'est plus chez nous. » Ou comment traiter quelqu'un d'abruti avec la plus grande élégance...