Goucem Nasser, soigneur et fervent supporter, en réalité l'homme à tout faire du club. Parmi les hommes à tout faire de la JSA qui ont accompagné l'équipe dans son aventure de la saison, un nom revient toujours c'est celui de Goucem Nasser, soigneur et fervent supporter, en réalité l'homme à tout faire du club. Technicien de la santé de formation, il a de tout temps été près des joueurs, leur prodiguant conseils et avis sur leurs performances et éventuellement comment préserver leur condition physique. Depuis quatre années à la JSA, il inspire confiance tant du côté des joueurs que du côté du staff administratif. Il nous livre ses impressions sur sa vie au sein du vieux club d'Azazga et sur la saison qui vient de s'écouler. Apparemment tout le monde est content du parcours du club cette saison ? C'est un parcours difficile où nous avons su comment tirer notre épingle du jeu en amassant le maximum de points durant la première manche du championnat. Sur l'évolution médicale des joueurs, nous nous sommes retrouvés parfois pratiquement sans remplaçant à cause de diverses blessures qui ont surgi le long du parcours et dont la cause est à mettre essentiellement sur le manque de préparation lors de l'intersaison Qu'est-ce qui a le plus marché dans la vie du club cette saison ? Disons-le clairement, c'est la stabilité du staff dirigeant, notamment la gestion du président du CSA et sa connaissance du football. Ensuite, il y eut l'incorporation de Mohand Ballah comme président de section, aimé de surcroît par la population, il a déchargé dans ses fonctions Belaid Seker. Une venue salutaire qui a fait beaucoup de bien au club, ce qui enfanté un groupe solidaire à toute épreuve. Et qu'est-ce qui n'a pas marché comme vous l'auriez souhaité ? Beaucoup de blessures récurrentes chez certains joueurs qui nous ont dans bien des matches quelque peu gênés. Le banc des remplaçants s'est dégarni, alors il était impossible d'adopter une quelconque stratégie au vu du peu d'éléments qu'on avait sous la main. Il fallait colmater à chaque fois et espérer que le blessé sur le terrain puisse reprendre au prix, par moments, de beaucoup de minutes perdues. Quelle a été votre première destination avant d'intégrer les rangs de la JSA ? J'ai eu l'honneur de travailler avec les cadets et les juniors de la JSK où j'ai côtoyé Mourad Karouf et beaucoup appris aux côtés de Kharroubi Mounïm. Une belle expérience très enrichissante sur tous les plans, cela fait maintenant quatre années que je suis à la JSA et j'espère avoir rempli ma mission dignement jusque-là.