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Rahem : «Le simple regard de Kermali me foutait les jetons !»
Publié dans Le Buteur le 15 - 01 - 2011

«C'était un éternel insatisfait, il fallait être un vrai djin pour le convaincre.»
«J'ai signé au Mouloudia à deux reprises, mais je me suis rétracté de peur de décevoir.»
Il n'était pas plus haut qu'une pomme, comme il le reconnaissait lui-même non sans ironie, mais son talent fut tellement immense que d'aucuns disent de lui, aujourd'hui, avec un recul certain, qu'il est passé à côté d'une grande carrière. Mohamed Rahem, bien qu'il soit resté mesuré jusqu'au bout dans ses choix concernant sa carrière, était de ceux qui faisaient charmer les foules. De la trempe de Bencheikh, Yahi et Meddane, si l'on veut pousser la comparaison, il provoquait un soulèvement populaire, pour ainsi dire, à chacune de ses prouesses. Ce dernier nous a reçus chez lui à Aïn Naâdja, en cet après-midi de mercredi, pour nous raconter sa vie. Passionné jusqu'au bout des ongles, il était bien parti à s'y éterniser dans le récit de ses péripéties, souvent saupoudré par des éclats de rires qui nous renseignent, si besoin est, sur la bonhomie du «Boy» de Lavigerie que les quelques cheveux blancs qui éclairent sa chevelure touffue d'antan ne trahissent guère le bonheur que transmet le bonhomme à l'âme restée juvénile. Appréciez !
Vous avez décidé d'interrompre votre mission au niveau du staff technique des jeunes d'El Harrach pour rebondir chez les seniors des Eucalyptus (ASEE, ndlr), le challenge est-il plus intéressant ?
Disons que je m'y sens bien. J'avais, certes, débuté sur le banc d'El Harrach, mais des circonstances ont fait que j'ai été contraint de jeter l'éponge. Je ne m'y plaisais pas vraiment, pour tout dire.
Qu'est-ce qui ne vous plaisait pas : la politique, l'environnement, le challenge ?
Disons que c'est la politique adoptée qui ne correspondait pas à mes ambitions. On était partis avec l'objectif de former pour les A, mais voilà qu'au bout de deux ans, on continue à recruter. On a fait signer plus de 20 joueurs en deux ans. Il y avait pourtant de la qualité chez les jeunes. Il y en avait quelques-uns qui méritaient d'être promus, mais on les a libérés. L'équipe s'était complètement disloquée. J'avais le sentiment que c'était les efforts de deux années de travail qui sont parties en fumée. Je me suis alors retiré !
Votre décision de partir n'a-t-elle pas un lien avec l'argent ?
Jamais ! Je n'en avais pas exigé lorsque j'étais joueur. Donc en tant que coach des juniors, ce n'était pas dans mes projets. Et puis, pour être honnête, il n'y avait pas de moyens. On avait travaillé avec presque rien. Il y avait, disons, un soutien moral de la part des dirigeants, notamment El Hadj Bousnina, mais à la longue, cela ne suffit pas.
On a dit que vous êtes parti en signe de contestation pour ne pas avoir été intégré dans le staff des seniors dans la foulée de l'arrivée de Charef…
C'est faux ! Je n'ai jamais demandé à intégrer le staff des seniors. Pour dire vrai, Charef était venu me proposer de travailler avec lui, mais j'ai refusé. J'estimais, et c'est valable aujourd'hui aussi, que je devais faire mes preuves en bas. Franchir palier par palier pour ne pas griller les étapes. J'ai toujours fonctionné ainsi.
Vous avez mis en avant le manque de moyens chez les jeunes de l'USMH, ces moyens dont vous parlez, vous les avez trouvés à l'ASEE ?
Bien sûr ! Je ne dirai pas que nous avons tout, mais le strict minimum est là. Le matériel pédagogique, les équipements, l'hébergement, les joueurs sont régularisés... En gros, le nécessaire est là. C'est un club de Régionale, on n'en fait pas des folies non plus.
Vous êtes, sans doute, mieux rémunéré ?
Pas spécialement. Je ne suis pas mieux payé qu'à El Harrach.
Avez-vous passé vos diplômes ?
Oui, mais pas tous. J'ai le deuxième degré. Mais je pense passer le troisième et obtenir la licence CAF plus tard.
Qu'est-ce qui vous a motivé à tenter cette reconversion ?
Je me dis que c'est dans l'ordre des choses. J'ai toujours voulu finir sur le banc, mais il me fallait un élément déclencheur. Une sorte d'inspiration, si on veut. C'est venu durant ma dernière saison à Bentalha, en 2003. L'équipe était sans entraîneur, on m'avait demandé d'assurer l'intérim, en attendant de conclure l'arrivée de Khelloufi. J'ai assuré durant trois mois. Ça m'a vraiment plu, pour être franc. Et puis, j'avais réalisé des résultats. J'avais, je me souviens, dirigé quatre matchs pour deux victoires et deux nuls. Je me suis dit, avec du recul, que je pouvais me lancer petitement dans le bain. Le challenge m'emballait. Ça s'est fait comme ça. Je suis en train de faire mes classes sans pression. J'essaye d'acquérir de l'expérience mais aussi faire ce job avec du plaisir. En attendant, qui sait, de connaître les pressions des grands clubs. On m'avait proposé alors de prendre en main les juniors, j'ai dit OK. J'ai terminé la saison là-bas. La saison d'après, je suis allé passer mes diplômes.
Une année plus tard, vous rebondissez au NAHD …
En effet, on m'avait appelé au NAHD pour intégrer le staff des jeunes. J'ai pris les U20.
Pourquoi spécialement cette catégorie ?
Ça correspondait à mon approche. Je me dis qu'il faut plus de vécu et de patience pour prendre les cadets ou les minimes. Je pense que j'ai beaucoup plus à transmettre aux U20.
Vous avez sorti des joueurs ?
Oui, quelques-uns. Derrardja, Khellili, Moundji…On avait vraiment fait dans la formation.
Pourquoi avoir quitté alors ?
Je n'ai pas refusé l'appel d'El Harrach comme d'habitude. (rires). On m'avait appelé pour donner un coup de main dans la formation, j'ai couru ! Ça ne s'est pas bien passé sur le plan relationnel avec certains. Je pense notamment à Benzekri qui m'avait boudé durant toute une année pour avoir refusé de travailler avec lui chez les A. Je l'ai toujours dit, je n'aime pas griller les étapes. J'aime franchir les caps l'un après l'autre. Je voulais débarquer sur le banc des A avec un vécu, un nom… tu comprends ?
Vous avez débuté votre carrière de joueur à l'ASEE et vous voilà plus de vingt ans après entraîneur, racontez-vous vos débuts ?
J'étais resté trois ans. De douze à quinze ans. J'étais parti sur un coup de tête pour demander à signer. Je n'étais pas plus haut qu'une pomme ! (Rires). On m'avait renvoyé par deux fois, étant encore jeune. Puis Tahar Chemil a fini par m'accepter, après avoir décelé en moi des qualités qui lui plaisaient. C'est comme ça que l'aventure avait commencé.
Trois ans plus tard, vous débarquez à El Harrach, qui vous a repéré ?
Hakim Meddane ! Il n'avait pas cessé de m'encourager à me présenter à un tournoi sélectif. Je refusais à chaque fois, sous prétexte que je n'avais pas le niveau. Je ne m'imaginais pas jouer à Lavigerie devant un public pareil. Puis, un jour, on m'avait traîné de force. Après le premier entraînement, je me suis dit que je vais jouer ici les doigts dans le nez ! Sept matchs plus tard, j'ai été promu chez les A.
Qui vous a promu ?
Cheikh Ramdani.
Vous souvenez-vous de votre premier match ?
Comme si c'était hier. On a joué la JSK à Lavigerie (2-1). J'avais remplacé Ben Omar à 25' de la fin. Depuis, je n'avais plus quitté les A.
Comment le public avait accueilli le lutin que vous étiez à l'époque ?
Chaleureusement. Mon entrée n'a jamais été une surprise. Le public nous connaissait tous du fait qu'à l'époque, on jouait en ouverture. J'ai été, disons, adopté avant même de faire mes débuts chez les A.
Vous aviez débuté dans l'ombre d'un chouchou du public, Hakim Meddane, en l'occurrence, comment viviez-vous cela ?
Le plus naturellement du monde. Hakim, c'était un monstre à l'époque. Il était incontestable. J'avais enchaîné les matchs, tantôt titulaire, tantôt remplaçant. C'était selon l'humeur de Ramdani. (Rires).
Vous n'aviez pas souffert de la comparaison ?
C'est vrai qu'on avait à peu près le même profil. Mais j'ai essayé de faire mon trou loin de cette comparaison. Avec le temps, je me suis démarqué de lui, même s'il était un exemple à suivre.
Jouer à l'USMH constituait-il un rêve d'enfance ?
Honnêtement, non ! Petit, je n'avais d'yeux que pour Ali Bencheikh et le Mouloudia. Je faisais tout pour lui ressembler. Je me souviens que dans la rue, je faisais des petits ponts à ma mère avec des cailloux, histoire de faire comme lui. (Rires). J'étais un mordu. Mais avec le temps et l'âge, j'ai appris à aimer El Harrach. Aujourd'hui encore, je suis fier d'avoir porté ses couleurs.
Pourquoi ne pas être parti au MCA, alors ?
Koun't n'khaf ! (J'avais peur, ndlr). Je disais aux supporters qui m'accostaient dans la rue que j'aimais le Mouloudia, mais de loin. (Rires).
Vous avez pourtant signé un engagement …
A deux reprises ! (Ndlr : en 89 et 90). Mais à chaque fois, je me rétractais. J'avais peur de ne pas réussir. Il y avait trop d'instabilité à l'intérieur. J'ai préféré donc continuer à aimer ce club de l'extérieur !
Le regrettez-vous aujourd'hui ?
Oui ! Si c'était à refaire, je foncerais tête baissée.
Il y avait pourtant beaucoup de joueurs avec qui vous entreteniez de bons rapports …
C'était tous mes amis. Lazizi, Benali, Kaci-Said, Lounici, Azizane…Je me souviens que le groupe était réparti en plusieurs clans. J'étais ami avec tout le monde, mais je ne m'y retrouvais pas. Je me suis alors cassé.
On vous avait suspendu une première fois pour avoir signé deux licences au profit du MCA et de l'USMH, n'aviez-vous pas peur d'être suspendu une seconde fois ?
On m'avait eu une fois, pas deux ! La deuxième fois, j'avais pris mes précautions. J'avais déposé les papiers nécessaires à ma qualification et mon passeport, mais je n'ai pas signé de contrat.
Comment avez-vous fait pour convaincre Djouad de vous laisser partir ?
Je lui avais pleurniché pendant dix minutes et il m'avait remis mes papiers.
Que lui avez-vous dit ?
Qu'El Harrach m'avait fait une meilleure offre. J'ai prétexté que Laïb m'avait proposé deux locaux commerciaux en guise de signature et il a cédé.
C'était vrai, au moins ?
Jamais ! Je vous jure que la proposition d'El Harrach était deux fois inférieure à celle du Mouloudia. J'avais quand même décidé de rester. Après, lorsque je me rappelle de ce qui est arrivé à Azizane et Kaci-Saïd, je me dis que je n'avais pas vraiment tort. Au Mouloudia, tu négocies avec quatre présidents. C'est tout un monde. Je me souviens qu'un jour, au sortir d'un entraînement, j'avais mis deux heures pour atteindre le parking. Tout le monde décide et tout le monde avait son mot à dire. Je suis reparti ce jour-là avec les poches pleines de cartes de visite. C'était aussi ça le charme de ce club, il faut le dire.
Vous avez fui le MCA par crainte d'échouer, mais vous n'aviez pas réussi à sauver l'USMH de la relégation …
Le Mouloudia nous avait emboîté le pas la saison d'après ! A l'époque, il n'y avait presque pas de moyens. Après, sur un plan personnel, je ne pense pas que ma saison aura été un échec. J'avais joué 14 matchs et marqué dix buts. La saison d'après, j'en avais marqué dix-neuf. Pour un ailier, c'est pas mal comme bilan, d'autant que je n'ai joué en tout et pour tout qu'une saison et demie.
Ne pensez-vous pas que des clubs ont aussi combiné à l'époque à vos dépens ?
Certainement.
Vous vous souvenez du fameux match face à l'ESS ?
Oui ! Belhani m'avait fauché dans les 18 m, alors que je filais seul au but. Et qu'a fait l'arbitre ? Il me sort le rouge.
C'était qui l'arbitre ?
Djaballah.
Vous pensez qu'il a été touché ?
Je ne peux pas l'affirmer. Je sais seulement que c'est Belhani qui devait être expulsé en sa qualité de dernier défenseur. Au lieu de l'expulser, il me sort le rouge, sous prétexte que je l'avais insulté.
C'est vrai ?
Jamais, et je suis prêt à le confronter si vous voulez. Je lui ai juste demandé d'arbitrer comme un homme. Arbitrez rajel, lui ai-je dit et il m'a sorti.
Le match d'après, c'était face à l'USMB à Hadjout, en vertu de la réglementation qui dictait qu'en cas de suspension, l'équipe fautive jouerait à cinquante km de ses bases, n'avez-vous pas trouvé la décision un peu farfelue ?
Si, mais ce n'était pas seulement ça. Il n'y avait pas aussi de moyens. La plupart des cadres étaient partis. On avait lutté avec les moyens du bord, mais la réalité était implacable.
Ouvrons, si vous le voulez bien, la parenthèse de la sélection, vos débuts chez les A coïncidaient avec la préparation de la CAN 90, comment vous a-t-on accueilli alors ?
Bien. Je me souviens que nous sortions d'un tournoi maghrébin en Mauritanie que nous avions remporté avec les Espoirs. J'avais été élu alors meilleur joueur de la compétition. Il fallait repartir à zéro chez les A. Je devais faire mes preuves, d'autant qu'il n'était pas facile du tout de convaincre Kermali. Je me souviens que son regard me foutait les jetons, au point de faire tout pour éviter de le croiser. C'était un éternel insatisfait.
Comment s'est fait le premier contact avec des joueurs comme Madjer, Amani, Oudjani, pour ne citer que ceux-là ?
Très bien. On nous avait super bien accueillis. J'étais parti sans aucun complexe. J'avais pris l'habitude de jouer avec des joueurs de renom dans le championnat algérien. Ceci a fait qu'il n'y avait pas de réserve. On m'avait accueilli naturellement. Peut-être que le premier jour du stage, il y a des appréhensions. Tu te demandes comment on va t'accueillir. Mais une fois dedans, tu oublies tes complexes.
Vous a-t-on aidé à vous intégrer ?
Heureusement. On m'a vite mis à l'aise. Amani, Menad, Serrar, Megharia… étaient aux petits soins avec moi.
Quels rapports aviez-vous avec Madjer ?
Pour être sincère, on n'était pas très proches, mais il était toujours resté sympa. Il venait de temps en temps papoter avec nous. Il nous offrait des gâteaux. Un chic type, quoi.
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Vous lirez dans la deuxième partie
* Comment il désertait le camp de regroupement de l'EN en pleine CAN 90 avec la complicité de Amani pour aller voir sa maman
* Ce qui s'est passé réellement à Ziguinchor et les vraies raisons du fiasco
* La vraie histoire de ses négociations avec Barcelone sous l'ère Cruijff et les raisons de l'échec de son transfert
* Les vérités de Guy Roux
* Les raisons de son choix de signer à El Mohammadia (Maroc) qui en avait étonné plus d'un
* Le secret de sa grande amitié avec Lazizi et plein d'autres anecdotes que «Boboy» racontait avec un plaisir certain


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