Sur le deuxième but de l'ASMO intervenu sur, doit-on dire, un heureux concours de circonstances pour les Asémistes, le ballon est allé heurter le pied de Salim Aribi avant de retomber chez un attaquant local. Sur le deuxième but de l'ASMO intervenu sur, doit-on dire, un heureux concours de circonstances pour les Asémistes, le ballon est allé heurter le pied de Salim Aribi avant de retomber chez un attaquant local. Le premier but marqué sur coup de pied arrêté suscite des questions sur la responsabilité de chacun. Aouiti, le gardien de but des Rouge et Bleu, irréprochable jusque-là, déclare : «Un gardien de but a toujours une part de responsabilité lorsqu'il encaisse un but de loin. Je ne vais pas me dérober, mais il y a toujours ce problème du mur qui bouge. Ce n'est pas une première, à chaque fois je fais allusion à ce problème avec mes coéquipiers. Au moment de la frappe, le mur bouge. Je conviens que des joueurs cherchent à éviter de recevoir le ballon en pleine figure, mais cette fois, il y a eu cette ouverture dans le mur qui a permis au ballon de se diriger tout droit vers le but. J'ai pu dévier sur la transversale, mais malheureusement, il y a eu but au final. Contre le MCO, Mezouar a failli marquer un but sur une balle arrêtée, mais la chance était de notre côté.» Personne n'en parle Grosse polémique avant le match ASMO-CAB à telle enseigne que presque toute l'Oranie était mobilisée pour démasquer les corrupteurs. Tous les hôtels étaient quasiment passés au crible pour démasquer les fauteurs de pagaille. Le match s'est soldé par la victoire de l'ASMO. Les Asémistes se congratulaient en fin de partie. On avait cru un instant que l'équipe jouait pour un objectif, certainement, la prime du match gagnée devait être conséquente et mirobolante et peu importe qui l'offrait, fut-il le pape. Au même moment, le WAT se baladait devant Bel-Abbès. Sur la pelouse du stade des Frères Amarouche où l'éthique sportive a certainement dû prendre la clé des champs. Les gars de la Mekerra étaient-ils déjà partis en vacances ? Bouali, invité d'une émission télé, fait presque allusion à ces équipes qui se relâchent, même si le championnat doit se jouer jusqu'à la fin. Mais personne ne se pose de questions sur ce naufrage de l'USMBA chez elle. L'éthique a fichu le camp de nos stades depuis longtemps. Bel-Abbès attendra un jour le retour de l'ascenseur, rien ne presse. Comme Mostaganem a fait payé cher au CAB «sa responsabilité» de l'avoir envoyé il y a quelques années dans cette même division. L'ESM s'est accrochée bec et ongles à Batna pour imposer le partage des points aux Cabistes il y a quatre semaines. Ainsi, va le championnat de la Super D2. M. B. Même Saïdi a raté Le CAB doit s'en mordre les doigts. Il pouvait rentrer à la maison avec les trois points de la victoire malgré le soutien des supporters du MCO venus nombreux soutenir l'ASMO. On avait signalé les occasions ratées de Boukhlouf et de Messaâdia. En revenant sur les matches de la Super D2, la télévision a montré un autre ratage, celui de Saïdi, le demi défensif. La seule explication à son ratage, c'est que Saïdi n'était pas concentré suite au retrait de son coéquipier. A ce niveau de la compétition, c'est impardonnable. Le CAB risque de payer cher les ratages face au but depuis le début de la saison. Bahloul convoité par le CABBA Le milieu défensif du CAB, Billel Bahloul, est l'un des éléments les plus en vue au sein de son équipe. Le CABBA, qui commence apparemment à penser à la saison prochaine, convoite ce joueur. Des proches du CABBA se sont déplacés à Batna pour se renseigner sur lui. Fellahi revient face au CSC L'attaquant Farès Fellahi, qui a écopé d'un carton jaune face au MCO pour contestation, était suspendu de fait face l'ASMO. Il sera de retour contre le CSC ce vendredi au stade du 1er-Novembre de Batna.