Si l'on croit une source fiable du club réghaoui, Teriaki ne pourra pas continuer le travail qu'il a entrepris il y a quelques mois avec comme seule conviction de réussir, d'abord le maintien, puis tracer les grands axes pour être au diapason à la reprise. Il faut dire que les dirigeants actuels voient quand même grand puisqu'ils envisagent de monter une équipe qui jouera, selon leurs dires, les premiers rôles. Et apparemment, le profil de Teriaki ne cadre pas avec leurs ambitions. C'est en tout cas ce qui ressortait implicitement des différentes entrevues que nous avions eues avec certains responsables réghaouis. L'actuel coach, qui a été mis au parfum de ce qu'ont l'intention de faire ses employeurs, se contente de driver son équipe jusqu'à l'ultime journée sans trop se poser de questions. Il aurait regretté son retour Teriaki, qui a répondu à l'appel du cœur, au moment où le club de ses premières amours avait besoin de ses services, semble, selon les échos qui nous sont parvenus, avoir regretté d'être revenu, arguant qu'au fond il a été quelque part trahi par ceux qui l'ont supplié de reprendre du service pour sauver l'équipe qui se trouvait en danger. En effet, celui qu'on appelle communément le pompier à Réghaïa, a réussi à remettre de l'ordre dans un club miné par d'innombrables luttes de clans. Il faut mettre à son actif la belle série de six succès consécutifs qui ont permis au NARBR de quitter définitivement la zone rouge, pour s'installer dans le ventre mou du classement général. On s'attend, en tout état de cause, à ce que Teriaki se manifeste pour nous donner son avis sur les tractations qui ont et bel et bien commencé. Sait-on jamais, il va peut-être se confier à nous et nous livrer des impressions qui pourraient satisfaire la curiosité de nos lecteurs qui raffolent d'informations croustillantes. A. Ahnia