Après la guerre de la présidence du club et les différents manœuvres de sabotage et de gâchage, les choses ne semblent pas avoir retrouvé leur cours au sein du RCK. Après la guerre de la présidence du club et les différents manœuvres de sabotage et de gâchage, les choses ne semblent pas avoir retrouvé leur cours au sein du RCK. Plusieurs affaires se profilent à l'horizon et risquent encore de compromettre la fin de l'actuel exercice et même le début de la saison prochaine. Comme annoncé auparavant, le non- assainissement de la situation financière du club a engendré un grand malaise au sein de l'équipe et il a été derrière la mauvaise posture du RCK malgré l'énorme travail accompli par l'ex-driver Nabil Medjahed. Dernièrement, certains joueurs ont décidé de prôner un autre recours et aller ainsi jusqu'au bout de leur menace. Après les 16 anciens joueurs amateurs qui ont déjà passé à l'action la saison passée en déposant leurs contrats au niveau de la LNF, ce qui a privé le club de recrutement lors du mercato hivernal, c'est au tour des nouveaux de suivre leurs traces. En effet, pas moins de six joueurs professionnels ont exécuté leur menace et ont déposé leurs contrats afin d'arracher leur dû. Le Raed se retrouve, une nouvelle fois, dans la même situation de la saison précédente et risque pas mal de sanctions. Si les joueurs ne feront pas machine arrière, ou plutôt les pseudo dirigeants ne règlent pas ce différend dans les meilleurs délais, le club ne pourra pas s'engager dans la compétition officielle. En présence des gens opportunistes et incompétents, à l'image de Mecheri et Mokrani, l'école koubéenne est en voie de disparition. La FAF ne devrait pas attendre le prochain exercice pour sanctionner le club. Le premier responsable de cette institution devrait sévir d'ici le début du mois de juillet. Le bureau fédéral étudiera attentivement le dossier de la SSPA-RCK ainsi que tous les autres clubs qui n'ont pas respecté le cahier de charges. Le problème c'est que la crise financière au sein du RCK a atteint son paroxysme et les caisses demeurent entièrement vides. Donc, il n'y a pas de quoi payer un seul contestataire, sauf si « les membres du conseil d'administration » mettent la main dans la poche. Allez, chiche. Ce n'est pas évident car ces gêneurs n'ont pas le moindre courage…