L'EST lui a confisqué son passeport et ne lui verse plus ses salaires. La situation de Belaïli ne connaît toujours pas d'issue favorable. La dernière sortie très surprenante des dirigeants de l'EST qui affirment que le joueur est désormais lié avec le club jusqu'à 2015, puisqu'il ne les a pas avisés de son départ, a rendu furieux le joueur et son entourage proche. Youssef assure qu'il a bien avisé le club, la ligue et la Fédération tunisienne de football aussi de son départ en fin de saison, comme stipulé dans son contrat qui prend fin à la fin de la saison. L'argument de la direction de l'EST ne tient du coup pas la route (celle-ci précise que le préavis doit être déposé six mois avant la fin du contrat, alors que l'entourage du joueur affirme que c'est trois mois). Toujours interdit d'entraînement et bloqué à Tunis, Belaïli veut solliciter l'aide de Mohamed Raouraoua pour sortir de cette situation. L'EST lui a confisqué son passeport et ne lui verse plus ses salaires Dans un premier temps, des négociations avaient eu lieu entre le club et l'agent du joueur pour une possible prolongation de contrat. L'EST a proposé un salaire annuel de 800 000 euros. Le joueur avait promis d'étudier l'offre, mais la dernière sortie du club a tout fait foirer et a convaincu l'ancien Oranais de ne pas renouveler. Soulignons que le passeport du joueur lui a été confisqué par le club, qui, en outre, ne lui verse pas ses salaires depuis le mois de janvier. Angers aussi s'intéresse à lui En plus de Montpellier et quelques clubs espagnols, Youssef Belaïli plait fortement aussi au club d'Angers, qui évolue actuellement en Ligue 2 française, mais qui est bien parti pour accéder à l'élite la saison prochaine. Les dirigeants angevins suivent de près l'évolution de sa situation avec l'EST.