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Pour “ Standards and poors ” pratiquement tous les pays producteurs d'hydrocarbures présentent un risque considérable Quand des “ cabinets d'expertise ” jouent aux apprentis sorciers
Sauf la Norvège l'Alaska et le Texas... Une récente “ étude ” publiée par le Cabinet d'expertise et d'études supérieures “ Standards and poors ” présente pratiquement tous les grands pays producteurs de gaz et de pétrole comme “ des pays à grand risque politique ”.En sus de l'Algérie, sont catalogués comme “ infréquentables ” : l'Iran, l'Irak, le Venezuela, la Russie, la Bolivie, l'Equateur et le Kazakhstan ! Le rapport a curieusement omis de mettre l'index le Nigeria et l'Angola où l'on sait pourtant les périls, les dangers et les incidents innombrables, graves et parfois meurtriers que connaissent les compagnies opératrices. Que reste-t-il comme pays producteurs fréquentables ? On pourra dénombrer la Norvège, l'Alaska, le Canada et les vieilles reliques de la mer du Nord, étant entendu que l'Indonésie, ancien pays exportateur est devenu depuis peu, importateur net. Et naturellement le Texas... Alors, et comme le répète sans cesse l'Opep, il appartient à ces pays “ fréquentables ” d'augmenter leur production afin de détendre le marché, puisque ce respectable “ cabinet d'expertise et d'études supérieures ” qu'est “ Standards and poors ” estime que le problème dans le domaine du pétrole et du gaz est un problème “ d'offres de “ fiscalité ” ainsi que de “ risques ” de perturbations ”.Ce genre d'analyses tout à fait irresponsables n'ont au total qu'un résultat : celui d'alarmer les marchés, de faire jouer la spéculation et de pousser encore les cours du pétrole à la hausse.N'est-ce pas en fait un but délibérément visé et que l'on tente de masquer en pointant du doigt l'OPEP ?