L'occasion est donnée aux Algériens de fournir leurs efforts à la concrétisation de leur bien-être, tant le programme qu'ils ont accepté avec beaucoup d'enthousiasme reste toujours fidèle à ses principes et au respect de ses orientations politiques, parvenant ces dernières années à surmonter toutes les divergences internes et à consolider l'unité nationale. Unité fondée avant tout sur la nécessité d'une expansion économique librement consentie. Une évidence d'autant plus vive que l'initiative en elle-même a de plus en plus tendance à mettre en relief l'action d'agir sur tous les fronts. Car, l'Algérie, doit demeurer plus que jamais un pays axé sur son développement, et parce que les objectifs sont établis de façon indiscutable et qui ne resteront pas sans effet pratique, tant il est certain qu'il y a en haut lieu une force politique mise en marche pour soulager les populations de tous les problèmes et autres maux qui rongent la société algérienne. Dans ce contexte, le gouvernement, sous l'impulsion des directives du président Abdelaziz Bouteflika ne cesse de faire preuve de compréhension malgré les nombreux problèmes qui touchent aux populations. Prenant bien soin de "dépassionner " le climat social par des actions concrètes qui font le bonheur des citoyens et augmentent les capacités économiques du pays. C'est là, une condition de paix sociale préconisée par le programme politique du chef de l'Etat et qui n'a d'égal que les sentiments qu'il nourrit à l'endroit du peuple, à qui il affirme toute sa disponibilité à " dépenser " les deniers publics pour son bien-être. Cette politique, résolument conciliante à tous les niveaux, a permis au peuple de suivre la voie de la raison tracée par le Président. Il est vrai que la vision actuelle, tendant à asseoir le pays sur des socles sûrs, fait du respect du programme présidentiel un principe intangible contre lequel nul n'ose s'élever sous peine de sacrilège. En vertu de ce principe rendu populaire, le peuple ose faire état publiquement de son adhésion, car il y puise de solides garanties en faveur d'un " rayon " d'action suffisant pour entreprendre et mener un véritable combat d'intérêts publics autrement plus puissants que par le passé. Ce qui est certain, c'est que la phase actuelle de développement dégage une très forte " odeur " de progrès. Peut importe que certains cherchent à nier l'évidence. Il est notoire que les institutions internationales, et particulièrement le peuple algérien, sont convaincus que le pays " avance " avec les pays émergeants grâce à une prestigieuse politique économique et qu'il prend les dispositions nécessaires pour y affirmer sa souveraineté économique. Maintenant, il ne fait pas de doute que l' " empoignade " de développement et d'économie se fait sur un " tapis " de stabilité ; avec tout ce que cela implique pour " forer " avec toutes les chances de succès. Surtout quand on sait que les intérêts qui se profilent derrière pareil programme sont spécialement destinés au peuple.