Lauréat du grand Prix International du Meilleur Artiste Etranger 2013 seul participant arabe au Concours International d'Arts Plastiques "Aigle de Nice International," qui a eu lieu dans la ville française de Nice le 22 novembre dernier, et qui a connu la participation de plus d'une centaine d'artistes provenant de diverses régions du monde, l'artiste plasticien ,Mohamed AZZOUG ,a décroché le Prix du meilleur artiste étranger. Artiste peintre, graphiste, sculpteur et céramiste. Né le 5 décembre 1973 à Alger. Cet ancien élève de l'Ecole des beaux-arts est un artiste qui prend son temps. Il a plusieurs fois exposé ses œuvres en France et en Algérie. Il compte plusieurs expositions individuelles dont une en 2006 avec pour thème " Envoûtant voyage " au Centre culturel algérien à Paris durant cette même année, il réalisa le trophée du meilleur roman du Salon international du livre d'Alger (Sila). Son style d'art est le figuratif, allant vers le réalisme. Même si son premier travail consiste à faire des portraits, Mohammed Azzoug n'en fait pas absolument une spécialité. L'art est à sa vraie passion, actuellement son travail a pris une nouvelle tournure. Avec un retour à la source, l'artiste plasticien enjolive la sculpture et le design. On sort du portrait, à titre d'exemple, dans l'œuvre intitulée Cérémonie du thé. L'artiste fait remarquer que c'est une combinaison entre le réel et l'imaginaire, selon lui, l'art, ce n'est pas du copier-coller. Mais plutôt une évaluation constante. Le travail artistique compte beaucoup pour moi. Il ne suffit pas de peindre. Il faut prendre son temps pour trouver une idée intéressante et la peaufiner. Doué pour le dessin et la sculpture dès sa prime enfance, depuis l'âge de 4 ans, il a été encouragé par un oncle peintre et restaurateur d'œuvres d'art, auquel il rend un vibrant hommage. " Ravi à la fleur de l'âge en 1982, à 31 ans, mon oncle a nourri mon amour pour cet art ", dit-il. L'enfant prodige s'oriente vers l'école supérieure des beaux-arts d'Alger en 1993 jusqu'à l'année 2000 où il découvre la céramique. Il participe à plusieurs expositions nationales et internationales, à l'Ecole supérieure des Beaux-arts d'Alger (1994-1996), au Palais de la culture d'Alger (2002), à la galerie Mohamed-Racim (2003) et à Bou-Saâda, hommage à Nasr Eddine Dinet, musée Nasr-Edddine Dinet, (2003) et au centre culturel algérien à Paris, France (2006-2007). Théâtre Divaldo Pod palmovka, Hilton de Prague, République tchèque (2012), Normandie, France (2013), le Colloque International sur l'Emir Abdelkader et le droit humanitaire International (2013). Admirateur de Michel-Ange, il opte pour une voie moderniste dans l'art et pratique la peinture, la céramique, la sculpture. Doucement mais sûrement, l'artiste plasticien polyvalent s'affirme comme une valeur sûre dans le paysage pictural algérien.