La Conservation des forêts a annoncé la mise en œuvre d'un programme de repeuplement des zones forestières ravagées par les incendies au niveau du Parc national du Djurdjura. Outre le repeuplement de ces zones, ce programme prévoit également la préservation du couvert végétal jusque-là épargné par les incendies. Il s'agit d'opérations de nettoiement de toutes les surfaces brûlées (70 ha), dont une partie sera clôturée pour la protéger du pacage et favoriser la régénération des ressources naturelles de ce Parc dont, notamment, le cèdre, considéré comme une "espèce protégée". Selon le responsable de la circonscription de Tikjda, "il est également prévu la mise en terre de plants de cèdres sur une surface de 88 ha, en plus de l'ouverture de nouvelles pistes qui faciliteront l'élimination des végétaux brûlés ainsi que les interventions en cas d'incendies". Ces ouvertures de pistes permettront également le développement du tourisme de montagne, a-t-il indiqué. Il a, en outre, fait part du lancement d'une étude relative aux feux de forêts et leurs conséquences sur l'équilibre écologique, en plus de la mise en place d'un plan de gestion et d'intervention pour identifier les incendies et leurs causes. Par ailleurs, le programme en question prévoit des travaux sylvicoles sur une superficie de 150 ha, ainsi que la réalisation de tranchées pare-feux pour éviter la propagation des incendies. Une surface globale de 627 ha, dont 469 ha de forêts, a été la proie des flammes en 2009, selon un bilan des services des forêts de la circonscription de Tikjda, dans lequel l'on relève la destruction de 88 ha de cèdres, 199 ha de chêne vert et 78 ha d'arbres fruitiers. Une superficie de quatre hectares a été également détruite au niveau de la station d'essais scientifiques de Thala Rana, située dans la zone du Parc national du Djurdjura, a ajouté ce responsable. Il est à rappeler qu'un important incendie s'est déclaré le 31 août 2009 au niveau de la station climatique de Tikjda, causant la perte de 220 ha de couvert végétal, dont 40 ha de cèdre et 90 ha de chêne, selon la même Conservation. "Les incendies de forêts demeurent la principale contrainte rencontrée dans la gestion et le développement du Parc national du Djurdjura", a affirmé le responsable de la Conservation des forêts. La Conservation des forêts a annoncé la mise en œuvre d'un programme de repeuplement des zones forestières ravagées par les incendies au niveau du Parc national du Djurdjura. Outre le repeuplement de ces zones, ce programme prévoit également la préservation du couvert végétal jusque-là épargné par les incendies. Il s'agit d'opérations de nettoiement de toutes les surfaces brûlées (70 ha), dont une partie sera clôturée pour la protéger du pacage et favoriser la régénération des ressources naturelles de ce Parc dont, notamment, le cèdre, considéré comme une "espèce protégée". Selon le responsable de la circonscription de Tikjda, "il est également prévu la mise en terre de plants de cèdres sur une surface de 88 ha, en plus de l'ouverture de nouvelles pistes qui faciliteront l'élimination des végétaux brûlés ainsi que les interventions en cas d'incendies". Ces ouvertures de pistes permettront également le développement du tourisme de montagne, a-t-il indiqué. Il a, en outre, fait part du lancement d'une étude relative aux feux de forêts et leurs conséquences sur l'équilibre écologique, en plus de la mise en place d'un plan de gestion et d'intervention pour identifier les incendies et leurs causes. Par ailleurs, le programme en question prévoit des travaux sylvicoles sur une superficie de 150 ha, ainsi que la réalisation de tranchées pare-feux pour éviter la propagation des incendies. Une surface globale de 627 ha, dont 469 ha de forêts, a été la proie des flammes en 2009, selon un bilan des services des forêts de la circonscription de Tikjda, dans lequel l'on relève la destruction de 88 ha de cèdres, 199 ha de chêne vert et 78 ha d'arbres fruitiers. Une superficie de quatre hectares a été également détruite au niveau de la station d'essais scientifiques de Thala Rana, située dans la zone du Parc national du Djurdjura, a ajouté ce responsable. Il est à rappeler qu'un important incendie s'est déclaré le 31 août 2009 au niveau de la station climatique de Tikjda, causant la perte de 220 ha de couvert végétal, dont 40 ha de cèdre et 90 ha de chêne, selon la même Conservation. "Les incendies de forêts demeurent la principale contrainte rencontrée dans la gestion et le développement du Parc national du Djurdjura", a affirmé le responsable de la Conservation des forêts.