Les projets en réalisation, parmi lesquels un institut de recherche agronomique et un institut de recherche et d'innovation technique, dont la réception et la mise en service à terme, sont de nature à faire de Béjaïa "un pôle universitaire d'excellence". Les projets en réalisation, parmi lesquels un institut de recherche agronomique et un institut de recherche et d'innovation technique, dont la réception et la mise en service à terme, sont de nature à faire de Béjaïa "un pôle universitaire d'excellence". Grâce à l'effort de construction consenti durant la période du quinquennal 2005-2009, l'Université de Béjaïa s'est retrouvée excédentaire en places pédagogiques. "Même pour les prochaines années, il n'y aura pas de soucis à se faire en raison du nouveau programme qui lui est destiné", a assuré le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. L'université, composée de deux pôles, Targa Ouzemmour et Aboudaou, accueille actuellement 36 mille étudiants, répartis sur quelque 24 mille places pédagogiques. "En faisant jouer le coefficient de foisonnement (1,5), on se retrouve avec une dotation de plus de 46 mille places", a estimé le ministre en réponse à des appréhensions apparues quant à l'éventualité d'une pression à la rentrée prochaine. Se montrant rassurant, le ministre a mis en avant quelques éléments du programme prévu pour la wilaya dans le cadre du prochain plan quinquennal (2010-2014), notamment la création de la faculté des sciences économiques et sociales dans la ville d'El-Kseur, d'une capacité théorique de 10 mille places et d'une faculté de droit dans la ville voisine d'Amizour, prévue pour une capacité de 5 mille places. Les projets en réalisation, dont un institut de recherche agronomique et un institut de recherche et d'innovation technique, dont la réception et la mise en service à terme sont de nature à faire de Béjaïa "un pôle universitaire d'excellence". Le ministre, qui a passé en revue les divers chantiers en construction, s'est dit "impressionné" par les résultats atteints et les efforts fournis localement pour faire de cet ancien centre universitaire, sorti des limbes en 1982, "une des plus grandes universités du pays". Il a mis en relief dans ce contexte, la qualité et l'esthétique des architectures adoptées, la fonctionnalité des espaces et le foisonnement des structures dédiées à la pédagogie. Le ministre n'a pas manqué également de souligner les progrès opérés en matière d'œuvre universitaire, notamment après un crochet effectué au complexe d'hébergement estudiantin de la ville d'El-Kseur. Six mille lits, fonctionnels et répartis sur trois résidences à l'aspect flamboyant, alternent fonctionnalité, esthétique et commodités. En plus des lits offerts, les trois cités ont été dotées de tous les moyens de loisirs, de distraction et de repos en état de conforter l'étudiant dans son cursus. Il s'agit d'aires de jeux, de cybercafés, d'un complexe omnisports, de gymnases et tant d'autres structures éparpillées au milieu d'espaces verts. Grâce à l'effort de construction consenti durant la période du quinquennal 2005-2009, l'Université de Béjaïa s'est retrouvée excédentaire en places pédagogiques. "Même pour les prochaines années, il n'y aura pas de soucis à se faire en raison du nouveau programme qui lui est destiné", a assuré le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. L'université, composée de deux pôles, Targa Ouzemmour et Aboudaou, accueille actuellement 36 mille étudiants, répartis sur quelque 24 mille places pédagogiques. "En faisant jouer le coefficient de foisonnement (1,5), on se retrouve avec une dotation de plus de 46 mille places", a estimé le ministre en réponse à des appréhensions apparues quant à l'éventualité d'une pression à la rentrée prochaine. Se montrant rassurant, le ministre a mis en avant quelques éléments du programme prévu pour la wilaya dans le cadre du prochain plan quinquennal (2010-2014), notamment la création de la faculté des sciences économiques et sociales dans la ville d'El-Kseur, d'une capacité théorique de 10 mille places et d'une faculté de droit dans la ville voisine d'Amizour, prévue pour une capacité de 5 mille places. Les projets en réalisation, dont un institut de recherche agronomique et un institut de recherche et d'innovation technique, dont la réception et la mise en service à terme sont de nature à faire de Béjaïa "un pôle universitaire d'excellence". Le ministre, qui a passé en revue les divers chantiers en construction, s'est dit "impressionné" par les résultats atteints et les efforts fournis localement pour faire de cet ancien centre universitaire, sorti des limbes en 1982, "une des plus grandes universités du pays". Il a mis en relief dans ce contexte, la qualité et l'esthétique des architectures adoptées, la fonctionnalité des espaces et le foisonnement des structures dédiées à la pédagogie. Le ministre n'a pas manqué également de souligner les progrès opérés en matière d'œuvre universitaire, notamment après un crochet effectué au complexe d'hébergement estudiantin de la ville d'El-Kseur. Six mille lits, fonctionnels et répartis sur trois résidences à l'aspect flamboyant, alternent fonctionnalité, esthétique et commodités. En plus des lits offerts, les trois cités ont été dotées de tous les moyens de loisirs, de distraction et de repos en état de conforter l'étudiant dans son cursus. Il s'agit d'aires de jeux, de cybercafés, d'un complexe omnisports, de gymnases et tant d'autres structures éparpillées au milieu d'espaces verts.