L'Egypte ne permettra plus aux convois d'aide destinés à la bande de Ghaza de passer par son territoire, a annoncé le chef de la diplomatie égyptienne, Ahmed Aboul Gheit, cité, hier, par le quotidien gouvernemental Al-Ahram. L'Egypte ne permettra plus aux convois d'aide destinés à la bande de Ghaza de passer par son territoire, a annoncé le chef de la diplomatie égyptienne, Ahmed Aboul Gheit, cité, hier, par le quotidien gouvernemental Al-Ahram. Ces déclarations interviennent après les violences qui ont opposé dans la nuit de mardi à mercredi à Al-Arich, dans le Sinaï, des policiers égyptiens et des militants pro-palestiniens membres du convoi Viva Palestina, mené par le député britannique George Galloway, depuis déclaré persona non grata en Egypte. "L'Egypte ne permettra plus aux convois, quels que soient leur type, provenance ou organisateurs, de traverser de nouveau son territoire", a déclaré M. Aboul Gheit. "Les membres du convoi (Viva Palestina) ont commis des actes hostiles et même criminels sur le territoire égyptien", a-t-il ajouté. Désormais, l'aide destinée à la bande de Ghaza devra être remise au Croissant-Rouge égyptien à Al-Arich, et ce seront les autorités égyptiennes qui se chargeront de les faire parvenir au Croissant-Rouge palestinien à Ghaza, a précisé M. Aboul Gheit, qui s'exprimait de Washington. M. Galloway a affirmé sur la chaîne SkyNews avoir été, avec un ami, entraîné de force dans un véhicule puis contraint de prendre l'avion. L'Egypte accuse M. Galloway, qui avait appelé au renversement du régime du président Hosni Moubarak lors d'une manifestation organisée en Angleterre, de chercher à déstabiliser le pouvoir. Le passage par l'Egypte du convoi Viva Palestina, constitué de plus de 140 camions et voitures chargés de nourriture et de matériel médical, a été émaillé d'incidents. L'Egypte s'est tout d'abord opposée à son entrée dans le pays par un port de la mer Rouge, l'obligeant à transiter par la Syrie pour débarquer finalement à Al-Arich, sur la côte méditerranéenne. De violents heurts ont ensuite opposé des policiers aux membres du convoi, qui est finalement passé via Rafah dans Ghaza, contrôlée par le le mouvement islamiste palestinien Hamas et soumise à un blocus israélien. Ces déclarations interviennent après les violences qui ont opposé dans la nuit de mardi à mercredi à Al-Arich, dans le Sinaï, des policiers égyptiens et des militants pro-palestiniens membres du convoi Viva Palestina, mené par le député britannique George Galloway, depuis déclaré persona non grata en Egypte. "L'Egypte ne permettra plus aux convois, quels que soient leur type, provenance ou organisateurs, de traverser de nouveau son territoire", a déclaré M. Aboul Gheit. "Les membres du convoi (Viva Palestina) ont commis des actes hostiles et même criminels sur le territoire égyptien", a-t-il ajouté. Désormais, l'aide destinée à la bande de Ghaza devra être remise au Croissant-Rouge égyptien à Al-Arich, et ce seront les autorités égyptiennes qui se chargeront de les faire parvenir au Croissant-Rouge palestinien à Ghaza, a précisé M. Aboul Gheit, qui s'exprimait de Washington. M. Galloway a affirmé sur la chaîne SkyNews avoir été, avec un ami, entraîné de force dans un véhicule puis contraint de prendre l'avion. L'Egypte accuse M. Galloway, qui avait appelé au renversement du régime du président Hosni Moubarak lors d'une manifestation organisée en Angleterre, de chercher à déstabiliser le pouvoir. Le passage par l'Egypte du convoi Viva Palestina, constitué de plus de 140 camions et voitures chargés de nourriture et de matériel médical, a été émaillé d'incidents. L'Egypte s'est tout d'abord opposée à son entrée dans le pays par un port de la mer Rouge, l'obligeant à transiter par la Syrie pour débarquer finalement à Al-Arich, sur la côte méditerranéenne. De violents heurts ont ensuite opposé des policiers aux membres du convoi, qui est finalement passé via Rafah dans Ghaza, contrôlée par le le mouvement islamiste palestinien Hamas et soumise à un blocus israélien.