Les Guinéens ont retrouvé l'espoir pour l'avenir politique de leur pays après le retrait de la junte de la course à la présidentielle prévue au terme d'une transition de six mois gérée par un Premier ministre dont le poste sera probablement confié au leader de l'Union pour le Progrès de Guinée (UPG), M. Jean Marie Doré. Les Guinéens ont retrouvé l'espoir pour l'avenir politique de leur pays après le retrait de la junte de la course à la présidentielle prévue au terme d'une transition de six mois gérée par un Premier ministre dont le poste sera probablement confié au leader de l'Union pour le Progrès de Guinée (UPG), M. Jean Marie Doré. Après la demande du Président intérimaire, le général Sekouba Konaté, de choisir un candidat pour diriger le gouvernement de transition, l'opposition avait désigné, avant un compromis définitif, les noms de M. Jean Mari Doré et de la syndicaliste Mme Rabiatou Serah Diallo. Dans l'attente de la confirmation de M. Jean Marie Doré dans ses nouvelles fonctions par le président de la junte par intérim, le général Sékouba Konaté, l'opposition regroupée au sein des Forces vives (partis, syndicats et société civile) poursuit les contacts et les concertations autour des "voies et moyens" à suivre pour respecter la feuille de route relative au processus de sortie de crise. Car, indique-t-on, à Conakry, le point le plus significatif de l'accord signé à Ouagadougou par le général Konaté et le président de la junte, le capitaine Moussa Dadis Camara actuellement en convalescence, est "l'engagement des militaires à ne pas présenter de candidat à la prochaine présidentielle". Cet engagement solennel a rassuré les Forces vives et les populations guinéennes qui attendent encore le retour du général Sékouba Konaté à Conakry où la sérénité semblait s'installer définitivement surtout après l'adhésion, à l'accord, de tous les membres du Conseil national pour la démocratie et le développement (CNDD-junte). Le Collectif des membres du CNDD et les chefs d'état major se sont, en effet, félicités de l'accord de Ouagadougou, invitant les populations "à œuvrer au renforcement de la paix et de la cohésion nationale". Dans un communiqué reproduit par des médias à Dakar, les militaires qui ont salué "l'esprit de responsabilité et le haut degré de patriotisme des acteurs mis en cause", ont également invité l'ensemble des populations à s'inspirer de ce bel exemple en adhérant à l'esprit et à la lettre des accords afin d'œuvrer au renforcement de la paix et de la cohésion sociale en Guinée. Par ailleurs, ce développement positif dans la crise en Guinée a suscité "le soulagement" de la communauté internationale qui avait rappelé à maintes reprises la junte guinéenne à respecter ses engagements exprimés au lendemain de la prise du pouvoir par le CNDD en décembre 2008. Ainsi plusieurs réactions ont souligné la pertinence des termes de l'accord notamment dans ces aspects relatifs à "la mise en place d'un Gouvernement d'union dirigé par un Premier ministre issu de l'pposition, la tenue d'élections dans un délai de six mois, et la non candidature des membres du (CNDD) et du Gouvernement de transition aux prochaines élections". Dans ce contexte, l'Union africaine (UA) a parlé d'"évolution positive" dans le processus de sortie de crise, réitérant son "appui" aux efforts du Médiateur de la CEDEAO, le président Blaise Compaoré. Les efforts de l'UA pour le règlement du problème guinéen sont menés en collaboration avec la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l'Afrique l'Ouest), et ce dans le cadre du Groupe international de contact sur la Guinée, avec le soutien de ses partenaires au sein de la communauté internationale. Après la demande du Président intérimaire, le général Sekouba Konaté, de choisir un candidat pour diriger le gouvernement de transition, l'opposition avait désigné, avant un compromis définitif, les noms de M. Jean Mari Doré et de la syndicaliste Mme Rabiatou Serah Diallo. Dans l'attente de la confirmation de M. Jean Marie Doré dans ses nouvelles fonctions par le président de la junte par intérim, le général Sékouba Konaté, l'opposition regroupée au sein des Forces vives (partis, syndicats et société civile) poursuit les contacts et les concertations autour des "voies et moyens" à suivre pour respecter la feuille de route relative au processus de sortie de crise. Car, indique-t-on, à Conakry, le point le plus significatif de l'accord signé à Ouagadougou par le général Konaté et le président de la junte, le capitaine Moussa Dadis Camara actuellement en convalescence, est "l'engagement des militaires à ne pas présenter de candidat à la prochaine présidentielle". Cet engagement solennel a rassuré les Forces vives et les populations guinéennes qui attendent encore le retour du général Sékouba Konaté à Conakry où la sérénité semblait s'installer définitivement surtout après l'adhésion, à l'accord, de tous les membres du Conseil national pour la démocratie et le développement (CNDD-junte). Le Collectif des membres du CNDD et les chefs d'état major se sont, en effet, félicités de l'accord de Ouagadougou, invitant les populations "à œuvrer au renforcement de la paix et de la cohésion nationale". Dans un communiqué reproduit par des médias à Dakar, les militaires qui ont salué "l'esprit de responsabilité et le haut degré de patriotisme des acteurs mis en cause", ont également invité l'ensemble des populations à s'inspirer de ce bel exemple en adhérant à l'esprit et à la lettre des accords afin d'œuvrer au renforcement de la paix et de la cohésion sociale en Guinée. Par ailleurs, ce développement positif dans la crise en Guinée a suscité "le soulagement" de la communauté internationale qui avait rappelé à maintes reprises la junte guinéenne à respecter ses engagements exprimés au lendemain de la prise du pouvoir par le CNDD en décembre 2008. Ainsi plusieurs réactions ont souligné la pertinence des termes de l'accord notamment dans ces aspects relatifs à "la mise en place d'un Gouvernement d'union dirigé par un Premier ministre issu de l'pposition, la tenue d'élections dans un délai de six mois, et la non candidature des membres du (CNDD) et du Gouvernement de transition aux prochaines élections". Dans ce contexte, l'Union africaine (UA) a parlé d'"évolution positive" dans le processus de sortie de crise, réitérant son "appui" aux efforts du Médiateur de la CEDEAO, le président Blaise Compaoré. Les efforts de l'UA pour le règlement du problème guinéen sont menés en collaboration avec la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l'Afrique l'Ouest), et ce dans le cadre du Groupe international de contact sur la Guinée, avec le soutien de ses partenaires au sein de la communauté internationale.