Les étudiants du département de gestion et économie de l'université Mohamed- Seddik-Ben-Yahia de Tassouste sont en grève depuis le 19 janvier. Ces universitaires mécontents de la façon dont leurs études se déroulent, dénoncent leur nouveau mode de vie estudiantin. Ces protestations sont venues suite au déménagement de leur faculté, qui était domiciliée l'année précédente au sein de l'université Abdelhak-Benhamouda au centre-ville de Jijel, et qui se retrouve cette année au pôle universitaire de Tassouste, où les travaux ne sont pas encore achevés. D'après les témoignages d'étudiants révoltés contre cette situation, la cause principale de cet arrêt de cours est due au fait que la bibliothèque du département en question est maintenue à la faculté centrale, ce qui cause des désagréments considérables pour s'y rendre. Car la distance entre le pôle universitaire de Tassouste et l'université de Jijel dépasse les 10 km et les étudiants souffrent de cet éloignement, notamment en hiver, vu que l'accès au transport public devient difficile. Par ailleurs, on constate que les raisons de ces perturbations dans le fonctionnement universitaire sont dues au non achèvement de la bibliothèque dudit département. En parallèle, les étudiants de la même université, résidant dans la commune de Chakfa, ont réitéré leurs protestations contre le manque de transport universitaire qui touche les étudiants résidant dans cette région. Ces derniers ne semblent pas satisfaits des deux bus mis à leur disposition par la Direction des œuvres universitaires. S. M. Les étudiants du département de gestion et économie de l'université Mohamed- Seddik-Ben-Yahia de Tassouste sont en grève depuis le 19 janvier. Ces universitaires mécontents de la façon dont leurs études se déroulent, dénoncent leur nouveau mode de vie estudiantin. Ces protestations sont venues suite au déménagement de leur faculté, qui était domiciliée l'année précédente au sein de l'université Abdelhak-Benhamouda au centre-ville de Jijel, et qui se retrouve cette année au pôle universitaire de Tassouste, où les travaux ne sont pas encore achevés. D'après les témoignages d'étudiants révoltés contre cette situation, la cause principale de cet arrêt de cours est due au fait que la bibliothèque du département en question est maintenue à la faculté centrale, ce qui cause des désagréments considérables pour s'y rendre. Car la distance entre le pôle universitaire de Tassouste et l'université de Jijel dépasse les 10 km et les étudiants souffrent de cet éloignement, notamment en hiver, vu que l'accès au transport public devient difficile. Par ailleurs, on constate que les raisons de ces perturbations dans le fonctionnement universitaire sont dues au non achèvement de la bibliothèque dudit département. En parallèle, les étudiants de la même université, résidant dans la commune de Chakfa, ont réitéré leurs protestations contre le manque de transport universitaire qui touche les étudiants résidant dans cette région. Ces derniers ne semblent pas satisfaits des deux bus mis à leur disposition par la Direction des œuvres universitaires. S. M.