Le syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP de la wilaya de Tizi Ouzou) appelle à l'observation d'un sit-in pour la journée du 27 janvier prochain devant le siège de la direction de wilaya de la formation professionnelle. C'est suite à une réunion, tenue avant-hier au siège wilayal de l'union de wilaya de la formation et de l'enseignement professionnels, que la décision «d'augmenter d'un cran» la contestation a été prise. Le même syndicat a déjà organisé une journée de protestation le 20 janvier dernier. Dans son appel, le syndicat revient sur les revendications contenues dans sa plate-forme de revendications, à savoir la levée de l'entrave à l'activité syndicale et la fin du mépris affiché à l'égard des syndicats autonomes, la réactivation des 185 postes de promotions internes et exceptionnelles, le logement, le régime indemnitaire, la situation des vacataires et la dégradation « lamentable » des infrastructures. Le caractère urgent de la situation dans laquelle se débat l'INSFP de Tizi Ouzou (ex-CFA) menacé d'effondrement et la situation chaotique de l'INSFP de Oued Aissi « imposent une prise en charge réelle et immédiate des problèmes », selon les contestataires. Les responsables du SNAPAP avertissent que dans le cas où les doléances des travailleurs ne trouvent pas d'écho, un préavis de grève sera déposé ultérieurement. Suite à une assemblée générale, le syndicat en question a pu débattre de l'ensemble des problèmes que vit le secteur dans la wilaya. Parmi les points essentiels à relever, il y a la révision des statuts particuliers qui sont dégradants. « L'ensemble des personnels de la formation professionnelle sont très mal positionnés dans les statuts particuliers en comparaison avec l'éducation », est-il déploré. Le SNAPAP exige, en outre, la réactivation des 185 postes de promotion internes et exceptionnels accordés par le ministère au profit des travailleurs de la wilaya et aussi d'autres promotions. La majorité des travailleurs, tout corps confondus, n'a jamais bénéficié d'une promotion même après 15 à 20 années de service, à l'instar de ceux des autres wilayas, est-il encore précisé. L. B. Le syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP de la wilaya de Tizi Ouzou) appelle à l'observation d'un sit-in pour la journée du 27 janvier prochain devant le siège de la direction de wilaya de la formation professionnelle. C'est suite à une réunion, tenue avant-hier au siège wilayal de l'union de wilaya de la formation et de l'enseignement professionnels, que la décision «d'augmenter d'un cran» la contestation a été prise. Le même syndicat a déjà organisé une journée de protestation le 20 janvier dernier. Dans son appel, le syndicat revient sur les revendications contenues dans sa plate-forme de revendications, à savoir la levée de l'entrave à l'activité syndicale et la fin du mépris affiché à l'égard des syndicats autonomes, la réactivation des 185 postes de promotions internes et exceptionnelles, le logement, le régime indemnitaire, la situation des vacataires et la dégradation « lamentable » des infrastructures. Le caractère urgent de la situation dans laquelle se débat l'INSFP de Tizi Ouzou (ex-CFA) menacé d'effondrement et la situation chaotique de l'INSFP de Oued Aissi « imposent une prise en charge réelle et immédiate des problèmes », selon les contestataires. Les responsables du SNAPAP avertissent que dans le cas où les doléances des travailleurs ne trouvent pas d'écho, un préavis de grève sera déposé ultérieurement. Suite à une assemblée générale, le syndicat en question a pu débattre de l'ensemble des problèmes que vit le secteur dans la wilaya. Parmi les points essentiels à relever, il y a la révision des statuts particuliers qui sont dégradants. « L'ensemble des personnels de la formation professionnelle sont très mal positionnés dans les statuts particuliers en comparaison avec l'éducation », est-il déploré. Le SNAPAP exige, en outre, la réactivation des 185 postes de promotion internes et exceptionnels accordés par le ministère au profit des travailleurs de la wilaya et aussi d'autres promotions. La majorité des travailleurs, tout corps confondus, n'a jamais bénéficié d'une promotion même après 15 à 20 années de service, à l'instar de ceux des autres wilayas, est-il encore précisé. L. B.