L'Office national du parc de l'Ahaggar (OPNA) veut sélectionner les meilleurs écrivains de contes et légendes en prévision de la tenue, du 15 au 20 février 2010, de la première édition du Festival international des arts de l'Ahaggar d'Abalessa . L'Office national du parc de l'Ahaggar (OPNA) veut sélectionner les meilleurs écrivains de contes et légendes en prévision de la tenue, du 15 au 20 février 2010, de la première édition du Festival international des arts de l'Ahaggar d'Abalessa . Pour ce faire, il organise un concours national d'écriture au profit des jeunes âgés entre 10 et 16 ans, qu'ils soient professionnels ou amateurs. Les postulants au concours sont tenus de présenter des œuvres qui ne doivent pas excéder trois pages, en arabe, en tamazight ou en français. Le concourant est appelé à relater un conte ou une légende inspirés de la tradition orale populaire saharienne. L'appréciation des œuvres sera faite sur la base de la connaissance du patrimoine oral populaire, l'authenticité du récit ainsi que la qualité de l'écriture. Un jury composé de professionnels sera désigné à cet effet par le commissaire du festival. Les oeuvres doivent être adressées avant le 8 février par voie postale ou e-mail. (OPNA, BP 242. Tamanrasset 11 000) et ([email protected]). Les lauréats se verront décerner des récompenses pécuniaires, des ordinateurs portables, ainsi que des appareils photo numériques. Pour rappel, le festival international des arts de l'Ahaggar a fait ses débuts sous la forme d'une manifestation locale dénommée «Festival Tin Hinan», manifestation qui a été organisée à trois reprises (2006, 2007 et 2008) sous les auspices de l'association «Les amis de l'Ahaggar». En 2009, l'OPNA s'y était enfin mêlé en organisant une 4e édition. Mais l'édition de cette année revêt un caractère international plus accentué puisque la capitale du Hoggar ne lésine désormais sur aucun moyen pour se fabriquer un look de princesse et faire d'une pierre deux coups : attirer les touristes étrangers et offrir en même temps les meilleures conditions possibles pour permettre la préservation d'un patrimoine culturel sur lequel pèse la menace de l'érosion. La manifestation prend ainsi le relais du festival sur l'imzad qui s'est tenu les 14, 15 et 16 janvier derniers à Tamanrasset. La localité d'Abalessa (80 km à l'ouest de Tam) qui abrite le tombeau de la mère légendaire des Touaregs- Tin Hinan- sera bien sûr l'attractivité de ce festival où l'on va par exemple reconstituer un village nomade et accueillir la diva malienne Oumou Sangaré, pour un concert endiablé. Pendant deux jours, il y aura aussi des conférences sur les arts de la région, le théâtre, la littérature, la poésie, et le mode de vie des Sahariens. Le cinéma ne sera pas en reste. Des projections en plein air y sont prévues. Sans oublier qu'il y sera réservé une grande place à l'artisanat local, lequel disposera d'une vitrine de choix dans la Maison de l'artisanat qui, en véritable capharnaüm, regorgera d'habits traditionnels, de tapis d'amulettes, et de bijoux en argent, etc. L. G. Pour ce faire, il organise un concours national d'écriture au profit des jeunes âgés entre 10 et 16 ans, qu'ils soient professionnels ou amateurs. Les postulants au concours sont tenus de présenter des œuvres qui ne doivent pas excéder trois pages, en arabe, en tamazight ou en français. Le concourant est appelé à relater un conte ou une légende inspirés de la tradition orale populaire saharienne. L'appréciation des œuvres sera faite sur la base de la connaissance du patrimoine oral populaire, l'authenticité du récit ainsi que la qualité de l'écriture. Un jury composé de professionnels sera désigné à cet effet par le commissaire du festival. Les oeuvres doivent être adressées avant le 8 février par voie postale ou e-mail. (OPNA, BP 242. Tamanrasset 11 000) et ([email protected]). Les lauréats se verront décerner des récompenses pécuniaires, des ordinateurs portables, ainsi que des appareils photo numériques. Pour rappel, le festival international des arts de l'Ahaggar a fait ses débuts sous la forme d'une manifestation locale dénommée «Festival Tin Hinan», manifestation qui a été organisée à trois reprises (2006, 2007 et 2008) sous les auspices de l'association «Les amis de l'Ahaggar». En 2009, l'OPNA s'y était enfin mêlé en organisant une 4e édition. Mais l'édition de cette année revêt un caractère international plus accentué puisque la capitale du Hoggar ne lésine désormais sur aucun moyen pour se fabriquer un look de princesse et faire d'une pierre deux coups : attirer les touristes étrangers et offrir en même temps les meilleures conditions possibles pour permettre la préservation d'un patrimoine culturel sur lequel pèse la menace de l'érosion. La manifestation prend ainsi le relais du festival sur l'imzad qui s'est tenu les 14, 15 et 16 janvier derniers à Tamanrasset. La localité d'Abalessa (80 km à l'ouest de Tam) qui abrite le tombeau de la mère légendaire des Touaregs- Tin Hinan- sera bien sûr l'attractivité de ce festival où l'on va par exemple reconstituer un village nomade et accueillir la diva malienne Oumou Sangaré, pour un concert endiablé. Pendant deux jours, il y aura aussi des conférences sur les arts de la région, le théâtre, la littérature, la poésie, et le mode de vie des Sahariens. Le cinéma ne sera pas en reste. Des projections en plein air y sont prévues. Sans oublier qu'il y sera réservé une grande place à l'artisanat local, lequel disposera d'une vitrine de choix dans la Maison de l'artisanat qui, en véritable capharnaüm, regorgera d'habits traditionnels, de tapis d'amulettes, et de bijoux en argent, etc. L. G.