Seul sur le terrain de bataille, le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) a repris le travail, hier, après deux journées de grève dont le taux de suivi a été «satisfaisant» pour ce syndicat. Le SNTE, qui se dit être contre les actions radicales, à savoir, les grèves ouvertes, met ainsi fin à son action, avant même que la tutelle n'eut daigné réagir, face à une grève sans grand risque. Un communiqué rendu public par le SNTE à la fin la grève précise que «le taux de suivi, contrairement à ce que tentent de faire croire certaines parties, est important. Il a frôlé les 67% au second jour de la grève». Le SNTE qui a décidé de ne pas participer à la grève illimitée organisée en novembre de l'année dernière par six syndicats de l'éducation, dénonce les tentatives de certaines parties pour casser la grève. Il cite dans ce sens le ministère de l'Education et certaines formations syndicales. Ainsi, il s'engage à ester en justice prochainement l'Union nationale des professionnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), lequel est, selon lui, derrière les «fausses» correspondances de la supposée aile du SNTE. Cette dernière aurait en effet appelé les enseignants à geler le mouvement de grève. Il précise sur ce point que nombre de professionnels affiliés à ce syndicat ont fini par quitter ses rangs via des démissions collectives et chercher refuge chez le SNTE n'étant pas convaincus par les arguments avancés par l'UNPEF pour ne pas participer à cette grève. Ainsi, le SNTE se félicite de la réussite de la grève en dépit des dépassements enregistrés dans plusieurs wilayas. «Dans plusieurs wilayas les directeurs de l'éducation ont tenté de casser la grève par la menace des ponctions sur salaires», peut-on lire dans le document. «Le but de la grève est de rompre le silence qui entoure les dossiers importants dans le secteur, notamment, ceux du régime indemnitaire, de la retraite anticipée et de la médecine de travail », note-t-on. M. A. Seul sur le terrain de bataille, le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) a repris le travail, hier, après deux journées de grève dont le taux de suivi a été «satisfaisant» pour ce syndicat. Le SNTE, qui se dit être contre les actions radicales, à savoir, les grèves ouvertes, met ainsi fin à son action, avant même que la tutelle n'eut daigné réagir, face à une grève sans grand risque. Un communiqué rendu public par le SNTE à la fin la grève précise que «le taux de suivi, contrairement à ce que tentent de faire croire certaines parties, est important. Il a frôlé les 67% au second jour de la grève». Le SNTE qui a décidé de ne pas participer à la grève illimitée organisée en novembre de l'année dernière par six syndicats de l'éducation, dénonce les tentatives de certaines parties pour casser la grève. Il cite dans ce sens le ministère de l'Education et certaines formations syndicales. Ainsi, il s'engage à ester en justice prochainement l'Union nationale des professionnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), lequel est, selon lui, derrière les «fausses» correspondances de la supposée aile du SNTE. Cette dernière aurait en effet appelé les enseignants à geler le mouvement de grève. Il précise sur ce point que nombre de professionnels affiliés à ce syndicat ont fini par quitter ses rangs via des démissions collectives et chercher refuge chez le SNTE n'étant pas convaincus par les arguments avancés par l'UNPEF pour ne pas participer à cette grève. Ainsi, le SNTE se félicite de la réussite de la grève en dépit des dépassements enregistrés dans plusieurs wilayas. «Dans plusieurs wilayas les directeurs de l'éducation ont tenté de casser la grève par la menace des ponctions sur salaires», peut-on lire dans le document. «Le but de la grève est de rompre le silence qui entoure les dossiers importants dans le secteur, notamment, ceux du régime indemnitaire, de la retraite anticipée et de la médecine de travail », note-t-on. M. A.