Le problème des habitations précaires dans la capitale semble être plus compliqué qu'on le croit, du moment que presque chaque jour, Des habitants de différentes communes d'Alger font appel aux autorités locale pour les délivrer d'une situation très difficile liée à leurs conditions d'hébergement complètement dégradées. Baraki, les Eucalyptus, Bab El Oued, Ben-Aknoun et bien d'autres communes renferment plusieurs quartiers qui n'assure plus la moindre commodité de vie. Des bâtiments fissurés, tel le cas d'un immeuble sis dans la quartier Mohamed Tazairt à Bab El Oued, prés d'une école primaire, qui a été pourtant classé orange lors du séisme de 2003 mais qui n'a bénéficié d'aucune opération de réhabilitation, selon les habitants qui n'arrêtent pas de tirer la sonnette d'alarme avant qu'un drame ne se produise. Ce bâtiment, qui risque de s'effondrer à n'importe quel moment, représente aussi un réel danger sur les passants, notamment les écoliers. D'autres citoyens sont aussi logés à la même enseigne et continuent de vivre sous la menace d'un effondrement de leur habitations, à l'instar des six familles qui habitent le quartier El Zaoui, aux Eucalyptus, qui vivent avec l'épée de Damoclès suspendue sur leurs têtes. Ils occupent des logements dont les murs sont fissurés constituant une brèche pour la pluie qui les fragilisent de plus en plus, ce qui augmente les craintes des habitants qui «ne trouve pas une oreille attentive à leur calvaire. La commune de Belouizdad, de son côté, abritent aussi plusieurs habitations précaires. On a recensé dernièrement plus d'une vingtaine de bâtiments classés rouge et voués à la démolition. Il est à noter que plus de 160 familles de la commune de Belouizdad, qui habitaient ces bâtiments, ont été relogées dans des chalets depuis 2004 et qui attendent jusqu'à ce jour leur relogement. Plus inquiétant encore reste le cas des logement récemment construits mais qui connaissent ces derniers temps des fissures et représentent aussi un danger réel, à l'instar de certains bâtiments dans la cité 120 logements sise à Ain Taya. Cela sans revenir sur le problèmes des bidonvilles qui poussent comme des champignons et qui, malgré le grand programme instauré par le gouvernement et la wilaya d'Alger pour les éradiquer, continuent de défigurer la capitale. C. K. Le problème des habitations précaires dans la capitale semble être plus compliqué qu'on le croit, du moment que presque chaque jour, Des habitants de différentes communes d'Alger font appel aux autorités locale pour les délivrer d'une situation très difficile liée à leurs conditions d'hébergement complètement dégradées. Baraki, les Eucalyptus, Bab El Oued, Ben-Aknoun et bien d'autres communes renferment plusieurs quartiers qui n'assure plus la moindre commodité de vie. Des bâtiments fissurés, tel le cas d'un immeuble sis dans la quartier Mohamed Tazairt à Bab El Oued, prés d'une école primaire, qui a été pourtant classé orange lors du séisme de 2003 mais qui n'a bénéficié d'aucune opération de réhabilitation, selon les habitants qui n'arrêtent pas de tirer la sonnette d'alarme avant qu'un drame ne se produise. Ce bâtiment, qui risque de s'effondrer à n'importe quel moment, représente aussi un réel danger sur les passants, notamment les écoliers. D'autres citoyens sont aussi logés à la même enseigne et continuent de vivre sous la menace d'un effondrement de leur habitations, à l'instar des six familles qui habitent le quartier El Zaoui, aux Eucalyptus, qui vivent avec l'épée de Damoclès suspendue sur leurs têtes. Ils occupent des logements dont les murs sont fissurés constituant une brèche pour la pluie qui les fragilisent de plus en plus, ce qui augmente les craintes des habitants qui «ne trouve pas une oreille attentive à leur calvaire. La commune de Belouizdad, de son côté, abritent aussi plusieurs habitations précaires. On a recensé dernièrement plus d'une vingtaine de bâtiments classés rouge et voués à la démolition. Il est à noter que plus de 160 familles de la commune de Belouizdad, qui habitaient ces bâtiments, ont été relogées dans des chalets depuis 2004 et qui attendent jusqu'à ce jour leur relogement. Plus inquiétant encore reste le cas des logement récemment construits mais qui connaissent ces derniers temps des fissures et représentent aussi un danger réel, à l'instar de certains bâtiments dans la cité 120 logements sise à Ain Taya. Cela sans revenir sur le problèmes des bidonvilles qui poussent comme des champignons et qui, malgré le grand programme instauré par le gouvernement et la wilaya d'Alger pour les éradiquer, continuent de défigurer la capitale. C. K.