Le portefeuille foncier de l'Aniref (Agence nationale d'intermédiation et de régulation foncière) constitué principalement d'actifs résiduels, excédentaires ou propres à l'Agence, va être imminemment soumis aux enchères publiques, indique une source proche du dossier. Etablissement public à caractère industriel et commercial (Epic), placé sous l'autorité directe du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, les missions qui lui sont dévolues sont la gestion et la régulation du foncier économique. L'Aniref a déjà, en décembre 2009, cédé deux actifs fonciers appartenant à des entreprises publiques dissourtes sises dans la zone industrielle de Meboudja et pont Bouchet dans la daïra de Sidi-Amar. Il s'agit d'un parc de 6.800 m2 appartenant à l'ex-EPBT et d'une unité industrielle de 1.173 m2. Ces deux sites fonciers sont destinés à accueillir des projets divers allant de la prestation de services industriels, jusqu'à carrément l'installation d'industries agro-alimentaires. Selon un cadre de cette institution, l'Aniref à Annaba, dispose de quarante-trois actifs excédentaires et résiduels répartis sur six wilayas (Annaba, El Taref, Guelma, Souk Ahras, Tébessa, Skikda), dont dix actifs en zone industrielle et vingt-sept en milieu urbain. Dans le cadre du programme des actifs à conceder au cours de l'année en cours, et dont les enchères se dérouleront à partir du 17 février pour Tébessa et Annaba, plusieurs sites propres aux activités industriels situés dans les zones de cette catégorie vont être concédés. A Annaba, il s'agit notamment de l'actif de l'Enaed dans la zone industrielle de Meboudja (Sidi-Amar), et l'EPRMCO de la Z.A. Lalalik (El Bouni) ainsi que celui de l'ETA. Dans la zone industrielle de pont Bouchet et enfin de l'Enapem dans la zone industrielle de Berrahal, il est à signaler que Annaba figure parmi les vingt territoires pouvant accueillir des Zidi (Zone industrielle de développement intègre), téchnopole ou zones spécialisées. La Zidi Annaba sera érigée dans la commune de Aïn El Berda. Rafraf Mohamed Le portefeuille foncier de l'Aniref (Agence nationale d'intermédiation et de régulation foncière) constitué principalement d'actifs résiduels, excédentaires ou propres à l'Agence, va être imminemment soumis aux enchères publiques, indique une source proche du dossier. Etablissement public à caractère industriel et commercial (Epic), placé sous l'autorité directe du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, les missions qui lui sont dévolues sont la gestion et la régulation du foncier économique. L'Aniref a déjà, en décembre 2009, cédé deux actifs fonciers appartenant à des entreprises publiques dissourtes sises dans la zone industrielle de Meboudja et pont Bouchet dans la daïra de Sidi-Amar. Il s'agit d'un parc de 6.800 m2 appartenant à l'ex-EPBT et d'une unité industrielle de 1.173 m2. Ces deux sites fonciers sont destinés à accueillir des projets divers allant de la prestation de services industriels, jusqu'à carrément l'installation d'industries agro-alimentaires. Selon un cadre de cette institution, l'Aniref à Annaba, dispose de quarante-trois actifs excédentaires et résiduels répartis sur six wilayas (Annaba, El Taref, Guelma, Souk Ahras, Tébessa, Skikda), dont dix actifs en zone industrielle et vingt-sept en milieu urbain. Dans le cadre du programme des actifs à conceder au cours de l'année en cours, et dont les enchères se dérouleront à partir du 17 février pour Tébessa et Annaba, plusieurs sites propres aux activités industriels situés dans les zones de cette catégorie vont être concédés. A Annaba, il s'agit notamment de l'actif de l'Enaed dans la zone industrielle de Meboudja (Sidi-Amar), et l'EPRMCO de la Z.A. Lalalik (El Bouni) ainsi que celui de l'ETA. Dans la zone industrielle de pont Bouchet et enfin de l'Enapem dans la zone industrielle de Berrahal, il est à signaler que Annaba figure parmi les vingt territoires pouvant accueillir des Zidi (Zone industrielle de développement intègre), téchnopole ou zones spécialisées. La Zidi Annaba sera érigée dans la commune de Aïn El Berda. Rafraf Mohamed