Difficile de croire qu'il puisse encore exister au sein de la capitale des cités sans aucune des principales commodités urbaines, en l'occurence l'eau, le gaz ou encore l'électricité. C'est pourtant le cas pour les habitants du quartier Ferhani-Ramdane, dans la commune de Gué de Constantine. Là nous ouvrons une parenthèse pour simplement préciser qu'il ne s'agit nullement d'un bidonville, mais bien d'habitations en dur. Les résidants de ce quartier, et en attendant que les autorités compétentes daignent enfin se pencher sur leur précarité, continuent à végéter dans leur quartier oublié comme s'ils étaient encore au moyen-âge. Ils doivent en effet puiser leur eau à partir des puits alors que pour cuisiner ou se chauffer ils doivent recourir aux bonbonne s de gaz butane. Quant à l'éclairage au sein des foyers l'incontournable système "D" vient à la rescousse. Ainsi ont commencé à fleurirles branchements illicites et particulièrement dangereux. Pas moins de cinq cents familles sont concernées par ces conditions de vied'un autre âge. "Nous restons complètement en marge de la civilisation. Aucun écho positif à nos nombreuses doléances ni la moindre lueur d'espoir à l'horizon pour nous. Ceux qui viennent pour la première fois ici affichent leur ébahissement face à notre quotidien d'un siècle révolu", nous diront avec amertume des habitants de cet îlot de tous les manques. Pour rappel cette localité n'a pas bénéficié des différents programmes de développement local jusque là initiés en faveur de la commune de Gué De Constantine, du fait que la cité Ferhani-Ramdane ait été érigée au mépris de toute loi et sans le moindre document administratif. Ses résidants actuels s'étant contenté d'accaparer des lots de terrain pour y ériger des habitations en dur. Aujourd'hui ils se retrouvent confrontés à une situation des plus pénibles, mais surtout des plus insolubles. C. K. Difficile de croire qu'il puisse encore exister au sein de la capitale des cités sans aucune des principales commodités urbaines, en l'occurence l'eau, le gaz ou encore l'électricité. C'est pourtant le cas pour les habitants du quartier Ferhani-Ramdane, dans la commune de Gué de Constantine. Là nous ouvrons une parenthèse pour simplement préciser qu'il ne s'agit nullement d'un bidonville, mais bien d'habitations en dur. Les résidants de ce quartier, et en attendant que les autorités compétentes daignent enfin se pencher sur leur précarité, continuent à végéter dans leur quartier oublié comme s'ils étaient encore au moyen-âge. Ils doivent en effet puiser leur eau à partir des puits alors que pour cuisiner ou se chauffer ils doivent recourir aux bonbonne s de gaz butane. Quant à l'éclairage au sein des foyers l'incontournable système "D" vient à la rescousse. Ainsi ont commencé à fleurirles branchements illicites et particulièrement dangereux. Pas moins de cinq cents familles sont concernées par ces conditions de vied'un autre âge. "Nous restons complètement en marge de la civilisation. Aucun écho positif à nos nombreuses doléances ni la moindre lueur d'espoir à l'horizon pour nous. Ceux qui viennent pour la première fois ici affichent leur ébahissement face à notre quotidien d'un siècle révolu", nous diront avec amertume des habitants de cet îlot de tous les manques. Pour rappel cette localité n'a pas bénéficié des différents programmes de développement local jusque là initiés en faveur de la commune de Gué De Constantine, du fait que la cité Ferhani-Ramdane ait été érigée au mépris de toute loi et sans le moindre document administratif. Ses résidants actuels s'étant contenté d'accaparer des lots de terrain pour y ériger des habitations en dur. Aujourd'hui ils se retrouvent confrontés à une situation des plus pénibles, mais surtout des plus insolubles. C. K.