Le secteur de la Pêche et des Ressources halieutiques a réceptionné 90% des projets d'investissement soutenus par l'Etat dans le cadre du plan quinquennal de soutien à la croissance (2005-2009). Selon un bilan rendu public par le ministère, rapporté sur un total de 582 projets ayant bénéficié du soutien de l'Etat durant les cinq dernières années, 524 ont été réceptionnés. Le secteur de la Pêche et des Ressources halieutiques a réceptionné 90% des projets d'investissement soutenus par l'Etat dans le cadre du plan quinquennal de soutien à la croissance (2005-2009). Selon un bilan rendu public par le ministère, rapporté sur un total de 582 projets ayant bénéficié du soutien de l'Etat durant les cinq dernières années, 524 ont été réceptionnés. Les 58 projets restants sont en cours d'achèvement, selon la même source. A l'horizon 2014-2015, le secteur a programmé d'autres actions, notamment, la formation de 10.000 diplômés en plus des 20.000 formés à fin 2009. Il s'agit aussi d'arriver à constituer un réseau de 72 ports de pêche et de sites d'échouage, un réseau de 40 halles à marrées et un autre concernant les laboratoires de contrôle, une flottille de pêche moderne comptant plus de 5.000 unités et une production d'aquaculture et de pêche continentale à même de compléter les productions de pêches maritimes. Le bilan fait état de nombreuses réalisations durant l'exercice 2009, notamment en matière de formation et de recherche, de surveillance maritime, de développement de la pêche aux petits métiers, de développement de l'aquaculture et de l'élevage de poisson. Outre la réalisation du laboratoire d'analyse de la qualité des produits halieutiques d'Alger, le secteur s'est doté également d'un autre laboratoire d'analyse de la salubrité des milieux et des produits halieutiques. Ce dernier s'inscrit dans le cadre du renforcement du dispositif national de contrôle sanitaire des produits halieutiques, "visant la préservation de la santé du consommateur et l'accroissement des exportations hors hydrocarbures". Ce laboratoire sera chargé de "normaliser les protocoles, méthodes, techniques et procédés d'analyse devant être effectués par les laboratoires locaux d'analyse et participera à l'arbitrage de litiges commerciaux internationaux en tant que tierce partie, comme le prévoit le droit international en la matière", selon le ministère. Sa mise en place vise également l'"augmentation des garanties des produits à commercialiser au plan interne et faciliter leurs accès aux marchés internationaux". L'année 2009 a vu également le lancement d'une étude pour l'élaboration d'un plan d'aménagement et de gestion des pêcheries nationales, en vue de faciliter la gestion zonale de l'effort de pêche dans un cadre durable et évaluer la biomasse marine par zone de pêche identifiée. Un programme de réalisation de sites d'échouage pour le développement du petit métier a été également lancé en 2009, et les travaux de certains sites (Tizi-Ouzou, Boumerdes et El-Taref) "connaissent des taux d'avancement appréciables". En outre, les travaux de réalisation de plusieurs halles à marées ont été lancés durant la même année notamment celles de Colo, Zemmouri et Boudis. Ces halles à marrées constituent des points de passage obligé pour tous les produits halieutiques, permettant de ce fait, d'exercer de manière infaillible les missions de puissance publique dont celle de la conservation et de la gestion des ressources à travers la collecte des statistiques de débarquement et des données d'effort de pêche. Ces infrastructures permettront aussi de percevoir la fiscalité générée par les activités commerciales et la régulation du marché. Concernant la conservation et l'exploitation durable des ressources halieutiques, le secteur s'est doté d'un système de surveillance des navires de pêche par satellite (VMS), qui assure la transmission des données en temps réel et à tout moment, depuis le navire de pêche au Centre de réception, de transmission, de traitement et d'analyse (CRTTA). S'agissant du développent de l'aquaculture, le secteur a enregistré en 2009, une quinzaine de projets d'investissement publics et privés. I. A. Les 58 projets restants sont en cours d'achèvement, selon la même source. A l'horizon 2014-2015, le secteur a programmé d'autres actions, notamment, la formation de 10.000 diplômés en plus des 20.000 formés à fin 2009. Il s'agit aussi d'arriver à constituer un réseau de 72 ports de pêche et de sites d'échouage, un réseau de 40 halles à marrées et un autre concernant les laboratoires de contrôle, une flottille de pêche moderne comptant plus de 5.000 unités et une production d'aquaculture et de pêche continentale à même de compléter les productions de pêches maritimes. Le bilan fait état de nombreuses réalisations durant l'exercice 2009, notamment en matière de formation et de recherche, de surveillance maritime, de développement de la pêche aux petits métiers, de développement de l'aquaculture et de l'élevage de poisson. Outre la réalisation du laboratoire d'analyse de la qualité des produits halieutiques d'Alger, le secteur s'est doté également d'un autre laboratoire d'analyse de la salubrité des milieux et des produits halieutiques. Ce dernier s'inscrit dans le cadre du renforcement du dispositif national de contrôle sanitaire des produits halieutiques, "visant la préservation de la santé du consommateur et l'accroissement des exportations hors hydrocarbures". Ce laboratoire sera chargé de "normaliser les protocoles, méthodes, techniques et procédés d'analyse devant être effectués par les laboratoires locaux d'analyse et participera à l'arbitrage de litiges commerciaux internationaux en tant que tierce partie, comme le prévoit le droit international en la matière", selon le ministère. Sa mise en place vise également l'"augmentation des garanties des produits à commercialiser au plan interne et faciliter leurs accès aux marchés internationaux". L'année 2009 a vu également le lancement d'une étude pour l'élaboration d'un plan d'aménagement et de gestion des pêcheries nationales, en vue de faciliter la gestion zonale de l'effort de pêche dans un cadre durable et évaluer la biomasse marine par zone de pêche identifiée. Un programme de réalisation de sites d'échouage pour le développement du petit métier a été également lancé en 2009, et les travaux de certains sites (Tizi-Ouzou, Boumerdes et El-Taref) "connaissent des taux d'avancement appréciables". En outre, les travaux de réalisation de plusieurs halles à marées ont été lancés durant la même année notamment celles de Colo, Zemmouri et Boudis. Ces halles à marrées constituent des points de passage obligé pour tous les produits halieutiques, permettant de ce fait, d'exercer de manière infaillible les missions de puissance publique dont celle de la conservation et de la gestion des ressources à travers la collecte des statistiques de débarquement et des données d'effort de pêche. Ces infrastructures permettront aussi de percevoir la fiscalité générée par les activités commerciales et la régulation du marché. Concernant la conservation et l'exploitation durable des ressources halieutiques, le secteur s'est doté d'un système de surveillance des navires de pêche par satellite (VMS), qui assure la transmission des données en temps réel et à tout moment, depuis le navire de pêche au Centre de réception, de transmission, de traitement et d'analyse (CRTTA). S'agissant du développent de l'aquaculture, le secteur a enregistré en 2009, une quinzaine de projets d'investissement publics et privés. I. A.