L'activiste sahraoui des droits de l'Homme Brahim Sabbar, a décidé d'entamer, depuis mercredi passé, une grève illimitée de la faim pour obtenir le passeport que lui refusent les autorités marocaines à Goulimim (sud du maroc), a indiqué l'Agence de presse sahraoui (SPS). Les autorités coloniales, a affirmé le ministre des territoires occupés et les communautés sahraouies à l'étranger, M. Khelil, a procédé sous prétexte «d'ordre des services de sécurité de la ville d'El Ayoun occupée». M. Sabbar, qui est également secrétaire général de l'Association sahraouie des victimes des violations des droits de l'Homme commises par le Maroc (ASVDH), avait déposé en 2001 et 2008 un dossier auprès des autorités marocaines à Goulimim pour l'obtention d'un passeport. «Toutes ses tentatives ont été vouées à l'échec sans raison apparente», a regretté la même source. L'activiste sahraoui des droits humains, Brahim Sabbar a passé plus de 13 ans dans les geôles marocaines de Kalaat Magouna et le carcel Negra (El Ayounn Sahara occidental). Il souffre, selon la même agence, des séquelles des tortures physique et psychologique qui lui ont été infligées par les autorités marocaines. Pour cause de ces arrestations, explique l'agence, ses opinions politiques en faveur de l'indépendance du Sahara occidental. L'activiste sahraoui des droits de l'Homme Brahim Sabbar, a décidé d'entamer, depuis mercredi passé, une grève illimitée de la faim pour obtenir le passeport que lui refusent les autorités marocaines à Goulimim (sud du maroc), a indiqué l'Agence de presse sahraoui (SPS). Les autorités coloniales, a affirmé le ministre des territoires occupés et les communautés sahraouies à l'étranger, M. Khelil, a procédé sous prétexte «d'ordre des services de sécurité de la ville d'El Ayoun occupée». M. Sabbar, qui est également secrétaire général de l'Association sahraouie des victimes des violations des droits de l'Homme commises par le Maroc (ASVDH), avait déposé en 2001 et 2008 un dossier auprès des autorités marocaines à Goulimim pour l'obtention d'un passeport. «Toutes ses tentatives ont été vouées à l'échec sans raison apparente», a regretté la même source. L'activiste sahraoui des droits humains, Brahim Sabbar a passé plus de 13 ans dans les geôles marocaines de Kalaat Magouna et le carcel Negra (El Ayounn Sahara occidental). Il souffre, selon la même agence, des séquelles des tortures physique et psychologique qui lui ont été infligées par les autorités marocaines. Pour cause de ces arrestations, explique l'agence, ses opinions politiques en faveur de l'indépendance du Sahara occidental.