Les travailleurs des œuvres universitaires centre de Tizi-Ouzou entreront en grève à partir d'aujourd'hui. Selon les responsables de la coordination syndicale des œuvres universitaires rattachée à l'UGTA, la grève en question durera trois journées et sera renouvelée cycliquement. Dans son appel, la coordination explique que, suite à l'expiration du préavis de grève de huit jours lancé le 9 février, il a été constaté qu'aucune réaction n'a été enregistrée de la part de la direction générale et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. La coordination syndicale rappelle que, pourtant, il ne s'agit ni plus ni moins que de l'application d'un protocole d'accord signé conjointement par les deux parties en conflit. Les syndicalistes expliquent que les responsables de leur secteur se sont engagés concernant la commission des œuvres sociales. Cette dernière devait être opérationnelle une fois le bilan moral déposé au niveau de l'Onou. De même qu'une commission de l'audit devait être diligentée afin de contrôler la gestion de la commission sortante. Des engagements ont été pris afin que les salaires des contractuels soient versés au même titre que ceux des titulaires. Régler les arriérés de salaires de janvier 2008 à mars 2009... des engagements qui n'ont jamais été honorés. Lounes Bougaci Les travailleurs des œuvres universitaires centre de Tizi-Ouzou entreront en grève à partir d'aujourd'hui. Selon les responsables de la coordination syndicale des œuvres universitaires rattachée à l'UGTA, la grève en question durera trois journées et sera renouvelée cycliquement. Dans son appel, la coordination explique que, suite à l'expiration du préavis de grève de huit jours lancé le 9 février, il a été constaté qu'aucune réaction n'a été enregistrée de la part de la direction générale et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. La coordination syndicale rappelle que, pourtant, il ne s'agit ni plus ni moins que de l'application d'un protocole d'accord signé conjointement par les deux parties en conflit. Les syndicalistes expliquent que les responsables de leur secteur se sont engagés concernant la commission des œuvres sociales. Cette dernière devait être opérationnelle une fois le bilan moral déposé au niveau de l'Onou. De même qu'une commission de l'audit devait être diligentée afin de contrôler la gestion de la commission sortante. Des engagements ont été pris afin que les salaires des contractuels soient versés au même titre que ceux des titulaires. Régler les arriérés de salaires de janvier 2008 à mars 2009... des engagements qui n'ont jamais été honorés. Lounes Bougaci