Domiciliée à Oran et créée en 2007, «l'Association des parents des enfants handicapés mentaux» à caractère social et culturel, apporte son aide aux enfants handicapés afin de leur permettre une meilleure insertion sociale. Domiciliée à Oran et créée en 2007, «l'Association des parents des enfants handicapés mentaux» à caractère social et culturel, apporte son aide aux enfants handicapés afin de leur permettre une meilleure insertion sociale. Pour arriver à ses objectifs, la présidente de l'association Mme Beramdane, a mis en place plusieurs activités destinées à permettre à ces enfants de s'insérer, du mieux possible, dans la vie sociale. L'avenir de ces enfants fait partie des premières préoccupations des membres de cette association. Plusieurs objectifs ont été tracés dans ce sens, certains déjà réalisés, d'autres en cours de réalisation alors que d'autres encore attendent le jour. Avec la grande volonté et la détermination d'aider ces enfants, les membres de l'association n'ont épargné aucun effort à commener, juste un an après la naissance de l'association, par la création de plusieurs ateliers étudiés selon les capacités de chacun des enfants afin de leur permettre justement de s'insérer dans la société. Ces ateliers ont été inaugurés par le wali d'Oran en décembre 2008, nous dira Mme Beramdane, qui a salué l'aide des autorités locales. "Grâce aux subventions que nous avons reçues, nous avons pu réaliser une grande partie de nos projets et avons pu donc faire un grand pas en avant" explique la présidente de l'association. Couture, dessin, théâtre, des séances en formation en cuisine, initiation à l'informatique, ouvrage en macramé, atelier de papier et de pâte chimique…, sont parmi les activités proposées aux enfants sous la forme d'ateliers pour améliorer leur «contact avec la vie». Des actions ou plutôt des rendez-vous avec une nouvelle vie pour ces enfants. L'association a beaucoup d'ambitions juste pour venir en aide à cette tranche de société assez importante, non pas uniquement dans son nombre, mais aussi et surtout dans son accroche de la vie et son incroyable volonté. Cette année, l'Association des parents d'enfants handicapés mentaux, s'est fixée plusieurs objectifs et projets à réaliser dont le premier sera, selon Mme Beramdane, la construction d'un atelier d'horticulture ainsi qu' un petit élevage pour les adolescents de plus de 15 ans pour les aider à l'insertion dans la vie sociale et active. La création d'un atelier de menuiserie et l'atelier de musique (musicothérapie), ce qui nécessite, toujours selon Mme Beramdane, une importante subvention. Le souci majeur de l'Association des parents d'enfants handicapés mentaux, reste celui de ne pas pouvoir garder les enfants handicapés mentaux au centre au-delà de 15 ans . «L'enfant doit quitter le centre à l'age de 15 ans, les enfants de ce centre sont des internes, à quoi bon leur apprendre à aimer la vie s'ils en sont exclu à un âge où ils ont le plus besoin d'être pris en charge», nous dira Mme Beramdane. «Je pense qu'il y a possibilité de garder un peu plus longtemps ces enfants», ajoute la présidente. L'association, qui a choisi l'avenir de l'enfant handicapés pour premier et seul centre d'intérêt, active depuis près de trois ans pour tenter de redonner l'espoir à ces enfants qui ont tant besoin d'aide, de compréhension et d'accompagnement pour reprendre confiance en soi et en la société à laquelle ils peuvent tant donner en prouvant leur existence. C. K. Pour arriver à ses objectifs, la présidente de l'association Mme Beramdane, a mis en place plusieurs activités destinées à permettre à ces enfants de s'insérer, du mieux possible, dans la vie sociale. L'avenir de ces enfants fait partie des premières préoccupations des membres de cette association. Plusieurs objectifs ont été tracés dans ce sens, certains déjà réalisés, d'autres en cours de réalisation alors que d'autres encore attendent le jour. Avec la grande volonté et la détermination d'aider ces enfants, les membres de l'association n'ont épargné aucun effort à commener, juste un an après la naissance de l'association, par la création de plusieurs ateliers étudiés selon les capacités de chacun des enfants afin de leur permettre justement de s'insérer dans la société. Ces ateliers ont été inaugurés par le wali d'Oran en décembre 2008, nous dira Mme Beramdane, qui a salué l'aide des autorités locales. "Grâce aux subventions que nous avons reçues, nous avons pu réaliser une grande partie de nos projets et avons pu donc faire un grand pas en avant" explique la présidente de l'association. Couture, dessin, théâtre, des séances en formation en cuisine, initiation à l'informatique, ouvrage en macramé, atelier de papier et de pâte chimique…, sont parmi les activités proposées aux enfants sous la forme d'ateliers pour améliorer leur «contact avec la vie». Des actions ou plutôt des rendez-vous avec une nouvelle vie pour ces enfants. L'association a beaucoup d'ambitions juste pour venir en aide à cette tranche de société assez importante, non pas uniquement dans son nombre, mais aussi et surtout dans son accroche de la vie et son incroyable volonté. Cette année, l'Association des parents d'enfants handicapés mentaux, s'est fixée plusieurs objectifs et projets à réaliser dont le premier sera, selon Mme Beramdane, la construction d'un atelier d'horticulture ainsi qu' un petit élevage pour les adolescents de plus de 15 ans pour les aider à l'insertion dans la vie sociale et active. La création d'un atelier de menuiserie et l'atelier de musique (musicothérapie), ce qui nécessite, toujours selon Mme Beramdane, une importante subvention. Le souci majeur de l'Association des parents d'enfants handicapés mentaux, reste celui de ne pas pouvoir garder les enfants handicapés mentaux au centre au-delà de 15 ans . «L'enfant doit quitter le centre à l'age de 15 ans, les enfants de ce centre sont des internes, à quoi bon leur apprendre à aimer la vie s'ils en sont exclu à un âge où ils ont le plus besoin d'être pris en charge», nous dira Mme Beramdane. «Je pense qu'il y a possibilité de garder un peu plus longtemps ces enfants», ajoute la présidente. L'association, qui a choisi l'avenir de l'enfant handicapés pour premier et seul centre d'intérêt, active depuis près de trois ans pour tenter de redonner l'espoir à ces enfants qui ont tant besoin d'aide, de compréhension et d'accompagnement pour reprendre confiance en soi et en la société à laquelle ils peuvent tant donner en prouvant leur existence. C. K.