La Directrice générale de l'Unesco, Mme Irina Bokova, a exprimé "sa préoccupation" après la décision du gouvernement israélien d'"inclure" les mosquées Ibrahim el-Khalil et Bilel Ben Rabah au prétendu "patrimoine archéologique israélien". Elle a également fait part de "sa préoccupation face à l'escalade de la tension qui en résultait dans la région". Le communiqué de l'UNESCO a indiqué que Mme Bokova s'était asociée à la déclaration de Robert Serry, Coordonnateur spécial des Nations unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, selon lequel ces sites avaient "une signification historique et religieuse" et que "le patrimoine culturel devait constituer une voie de dialogue". L'Organisation a œuvré pendant de nombreuses années avec le ministère du Tourisme et des Antiquités de l'Autorité palestinienne ainsi qu'avec la société civile palestinienne pour protéger et préserver les sites du patrimoine culturel de la Cisjordanie occupée, rappelle le communiqué s'engageant à persévérer en ce sens. La Directrice générale de l'Unesco, Mme Irina Bokova, a exprimé "sa préoccupation" après la décision du gouvernement israélien d'"inclure" les mosquées Ibrahim el-Khalil et Bilel Ben Rabah au prétendu "patrimoine archéologique israélien". Elle a également fait part de "sa préoccupation face à l'escalade de la tension qui en résultait dans la région". Le communiqué de l'UNESCO a indiqué que Mme Bokova s'était asociée à la déclaration de Robert Serry, Coordonnateur spécial des Nations unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, selon lequel ces sites avaient "une signification historique et religieuse" et que "le patrimoine culturel devait constituer une voie de dialogue". L'Organisation a œuvré pendant de nombreuses années avec le ministère du Tourisme et des Antiquités de l'Autorité palestinienne ainsi qu'avec la société civile palestinienne pour protéger et préserver les sites du patrimoine culturel de la Cisjordanie occupée, rappelle le communiqué s'engageant à persévérer en ce sens.