Les pluies diluviennes qui se sont abattus ces derniers trois jours sur le nord du pays n'ont pas été sans conséquences sur la wilaya de Boumerdès. Ils ont provoqué des dégâts matériels mais, fort heureusement, l'on n'a pas enregistré de pertes en vies humaines. La détérioration du réseau routier dans la plupart de localités de la wilaya, dans la plupart des cas, a favorisé l'isolement de quelques contrées, notamment rurales. Aux Issers, le calvaire des habitants du village Tamlakemt s'est accentué durant ces trois jours de pluies ininterrompues. La reconstruction d'un pont effondré en 2007 qui relie le village au chef-lieu communal se fait toujours attendre. De ce fait, les villageois traverse à pied l'Oued et ce, avec tous les dangers qui en découlent. Par conséquence, les villageois et plus particulièrement les potaches continuent à payer un lourd tribut. Dans la commune limitrophe, à Chabet El Ameur, le débordement de l'oued Bouiri a totalement isolé deux localités du reste du monde. Signalons que les travaux de remblaiement d'un pont construit récemment, accusent un retard énorme. Au chef-lieu des Issers, et en raison d'absence d'avaloirs, les eaux ont envahi tous les lieux, y compris quelques cages d'escaliers des bâtiments. Les habitants des vieilles bâtisses, que ce soit à Bordj Ménaïel ou à Thénia avaient la peur au ventre de crainte d'être ensevelis par l'effondrement de leurs logis. Toutefois, selon quelques habitants, ces bâtisses enregistrent souvent des affaissements et d'infiltration des eaux à chaque détérioration des conditions climatiques. A Dellys, la peur des inondations a envahi toutes les cervelles des citoyens, vu que la localité a été emportée en 2007 par des inondations qui ont causé la mort d'un jeune enfant. Même au chef-lieu de wilaya, et faute d'entretien d'avaloirs, les routes ont été quasiment inondées. À signaler que ces perturbations climatiques n'ont pas causé de pertes en vie humaines. T. H. Les pluies diluviennes qui se sont abattus ces derniers trois jours sur le nord du pays n'ont pas été sans conséquences sur la wilaya de Boumerdès. Ils ont provoqué des dégâts matériels mais, fort heureusement, l'on n'a pas enregistré de pertes en vies humaines. La détérioration du réseau routier dans la plupart de localités de la wilaya, dans la plupart des cas, a favorisé l'isolement de quelques contrées, notamment rurales. Aux Issers, le calvaire des habitants du village Tamlakemt s'est accentué durant ces trois jours de pluies ininterrompues. La reconstruction d'un pont effondré en 2007 qui relie le village au chef-lieu communal se fait toujours attendre. De ce fait, les villageois traverse à pied l'Oued et ce, avec tous les dangers qui en découlent. Par conséquence, les villageois et plus particulièrement les potaches continuent à payer un lourd tribut. Dans la commune limitrophe, à Chabet El Ameur, le débordement de l'oued Bouiri a totalement isolé deux localités du reste du monde. Signalons que les travaux de remblaiement d'un pont construit récemment, accusent un retard énorme. Au chef-lieu des Issers, et en raison d'absence d'avaloirs, les eaux ont envahi tous les lieux, y compris quelques cages d'escaliers des bâtiments. Les habitants des vieilles bâtisses, que ce soit à Bordj Ménaïel ou à Thénia avaient la peur au ventre de crainte d'être ensevelis par l'effondrement de leurs logis. Toutefois, selon quelques habitants, ces bâtisses enregistrent souvent des affaissements et d'infiltration des eaux à chaque détérioration des conditions climatiques. A Dellys, la peur des inondations a envahi toutes les cervelles des citoyens, vu que la localité a été emportée en 2007 par des inondations qui ont causé la mort d'un jeune enfant. Même au chef-lieu de wilaya, et faute d'entretien d'avaloirs, les routes ont été quasiment inondées. À signaler que ces perturbations climatiques n'ont pas causé de pertes en vie humaines. T. H.