La Direction des services agricoles de la wilaya a lancé, la semaine dernière, un bulletin d'alerte concernant la rouille, un champignon-parasite qui attaque les cultures de blés. La Direction des services agricoles de la wilaya a lancé, la semaine dernière, un bulletin d'alerte concernant la rouille, un champignon-parasite qui attaque les cultures de blés. L'apparition de taches brunes ou jaunes sur les tiges et les feuilles, symptômes caractéristiques de cette maladie végétale, est déjà relevée dans certains champs. Cette phytopathologie, de son nom scientifique puccinia graminis, peut être responsable de 50 à 100% de la perte d'une récolte. C'est pour cette raison que sa circonscription doit intervenir dans les plus brefs délais. La sensibilisation des agriculteurs aux diverses infections qui menacent leurs productions, à l'exemple du mildiou qui s'attaque à la pomme de terre, est l'une des priorités majeures des autorités agricoles qui multiplient, à cet égard, les journées portes ouvertes ou d'information. Récemment, il y a eu l'organisation, au niveau du Centre national de certification et du contrôle des semences, d'une rencontre d'information technique sur le désherbage chimique des céréales d'hiver. Ce rendez-vous, qui a regroupé des dizaines de céréaliers de différentes régions de l'Est, s'adressait particulièrement aux producteurs performants, très nombreux à constantine. Cette dernière, pour rappel, est une wilaya pionnière en matière de céréales, blés, tendre et dur, orge… Elle enregistre depuis des années des récoltes record excédant aisément le 1 million et demi de quintaux. Selon les experts, les mauvaises herbes s'attaquent aux céréales durant le processus de développement des plantes et altèrent de facto le rendement qui en sera affecté à hauteur de 25%. L'augmentation du rendement des surfaces emblavées est tributaire, entre autres, du processus du désherbage qui doit impérativement intervenir au moment opportun pour annihiler tout développement des adventices. Or, ce procédé serait appliqué tardivement par les agriculteurs, ce qui conduit à son inefficacité. La journée d'information en question visait ainsi à faire éviter aux concernés les mauvaises manipulations à travers l'adoption des modalités techniques du désherbage. Et c'est dans le cadre du programme de développement Optitec (optimalisation des techniques agricoles), auquel ont adhéré bon nombre de céréaliers, que les résultants seraient probants. Actuellement, le taux de désherbage dans la wilaya est estimé à 10% seulement. Beaucoup, donc, reste à faire… N. D. L'apparition de taches brunes ou jaunes sur les tiges et les feuilles, symptômes caractéristiques de cette maladie végétale, est déjà relevée dans certains champs. Cette phytopathologie, de son nom scientifique puccinia graminis, peut être responsable de 50 à 100% de la perte d'une récolte. C'est pour cette raison que sa circonscription doit intervenir dans les plus brefs délais. La sensibilisation des agriculteurs aux diverses infections qui menacent leurs productions, à l'exemple du mildiou qui s'attaque à la pomme de terre, est l'une des priorités majeures des autorités agricoles qui multiplient, à cet égard, les journées portes ouvertes ou d'information. Récemment, il y a eu l'organisation, au niveau du Centre national de certification et du contrôle des semences, d'une rencontre d'information technique sur le désherbage chimique des céréales d'hiver. Ce rendez-vous, qui a regroupé des dizaines de céréaliers de différentes régions de l'Est, s'adressait particulièrement aux producteurs performants, très nombreux à constantine. Cette dernière, pour rappel, est une wilaya pionnière en matière de céréales, blés, tendre et dur, orge… Elle enregistre depuis des années des récoltes record excédant aisément le 1 million et demi de quintaux. Selon les experts, les mauvaises herbes s'attaquent aux céréales durant le processus de développement des plantes et altèrent de facto le rendement qui en sera affecté à hauteur de 25%. L'augmentation du rendement des surfaces emblavées est tributaire, entre autres, du processus du désherbage qui doit impérativement intervenir au moment opportun pour annihiler tout développement des adventices. Or, ce procédé serait appliqué tardivement par les agriculteurs, ce qui conduit à son inefficacité. La journée d'information en question visait ainsi à faire éviter aux concernés les mauvaises manipulations à travers l'adoption des modalités techniques du désherbage. Et c'est dans le cadre du programme de développement Optitec (optimalisation des techniques agricoles), auquel ont adhéré bon nombre de céréaliers, que les résultants seraient probants. Actuellement, le taux de désherbage dans la wilaya est estimé à 10% seulement. Beaucoup, donc, reste à faire… N. D.