Après le redoux qui s'est installé pour plusieurs jours, Constantine renoue avec les basses températures. Hier, le thermomètre a affiché 8° pour la maximale, 2° seulement pour la minimale…Et les prévisions annoncées pour aujourd'hui et demain n'incitent pas à l'optimisme. Depuis mardi dernier, une vague de froid s'est installée sur le Constantinois, accompagnée de fortes précipitations discontinues. Selon les services météorologiques, la pluie et le froid sont plutôt de rigueur pour le mois de mars. Ces intempéries se poursuivront encore pour les jours à venir. Les chutes de neige n'affecteront pas la région, mais seulement les reliefs qui culminent à plus de 900 mètres au nord du pays. La pluviosité, qualifiée d'importante, si elle représente une aubaine pour l'agriculture, est perçue comme une réelle menace par des centaines de familles occupant des habitations précaires. A la vieille ville, les intempéries de la semaine dernière « ont mis à la rue » pas moins de six familles. L'effondrement d'un mur, sous l'effet de la pluie et du vent, a endommagé les entrées de trois habitations mitoyennes. Depuis, les résidants sont contraints de dormir à la belle étoile faute de solution. Les constats établis, in situ, par certains responsables locaux n'ont pas pour l'heure abouti à la décantation de la situation. Et ils ne sont pas les seuls à vivre la peur au ventre à chaque goutte de pluie ou bourrasque de vent. Dans la wilaya, elles sont 258 familles, recensées par les services de la Protection civile, à encourir les risques des crues des oueds et des inondations. Les menaces d'effondrement, toujours selon les mêmes sources, concernent 565 familles habitant la vielle ville, particulièrement les quartiers de Sidi Djeliss, Souika et la Casbah. N. D. Après le redoux qui s'est installé pour plusieurs jours, Constantine renoue avec les basses températures. Hier, le thermomètre a affiché 8° pour la maximale, 2° seulement pour la minimale…Et les prévisions annoncées pour aujourd'hui et demain n'incitent pas à l'optimisme. Depuis mardi dernier, une vague de froid s'est installée sur le Constantinois, accompagnée de fortes précipitations discontinues. Selon les services météorologiques, la pluie et le froid sont plutôt de rigueur pour le mois de mars. Ces intempéries se poursuivront encore pour les jours à venir. Les chutes de neige n'affecteront pas la région, mais seulement les reliefs qui culminent à plus de 900 mètres au nord du pays. La pluviosité, qualifiée d'importante, si elle représente une aubaine pour l'agriculture, est perçue comme une réelle menace par des centaines de familles occupant des habitations précaires. A la vieille ville, les intempéries de la semaine dernière « ont mis à la rue » pas moins de six familles. L'effondrement d'un mur, sous l'effet de la pluie et du vent, a endommagé les entrées de trois habitations mitoyennes. Depuis, les résidants sont contraints de dormir à la belle étoile faute de solution. Les constats établis, in situ, par certains responsables locaux n'ont pas pour l'heure abouti à la décantation de la situation. Et ils ne sont pas les seuls à vivre la peur au ventre à chaque goutte de pluie ou bourrasque de vent. Dans la wilaya, elles sont 258 familles, recensées par les services de la Protection civile, à encourir les risques des crues des oueds et des inondations. Les menaces d'effondrement, toujours selon les mêmes sources, concernent 565 familles habitant la vielle ville, particulièrement les quartiers de Sidi Djeliss, Souika et la Casbah. N. D.