Les cours du pétrole étaient toujours en hausse hier, soutenus par un recul du dollar et l'amélioration attendue de la demande aux Etats-Unis. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai s'échangeait à 81,25 dollars en fin de matinée, en hausse de 0,72 cents par rapport à la clôture de mardi. A New York, le baril de "brut léger texan" (WTI) pour livraison en avril prenait 0,62 cents à 82,32 dollars. "Les cours du brut poursuivent leur rebond alors que le dollar accentue sa chute après la décision de la Réserve fédérale américaine (Fed) de maintenir inchangée sa politique monétaire", commentaient les analystes. En effet, le dollar est tombé jusqu'à 1,3818 dollar pour un euro hier matin, son plus bas niveau depuis début février. Par ailleurs, le pétrole était soutenu par la publication mardi de chiffres meilleurs qu'attendu de l'Institut du Pétrole Américain (API) qui ont révélé une progression bien moins que prévu (400.000 barils) des stocks de brut la semaine passée et une hausse de la demande qui a provoqué un repli des stocks d'essence. Sur le plan de l'offre, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui devait tenir une réunion ministérielle à son siège viennois, semble décidée à maintenir inchangés ses quotas de production, fixés à 24,84 mb/j depuis le 1er janvier 2009. Les cours du pétrole étaient toujours en hausse hier, soutenus par un recul du dollar et l'amélioration attendue de la demande aux Etats-Unis. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai s'échangeait à 81,25 dollars en fin de matinée, en hausse de 0,72 cents par rapport à la clôture de mardi. A New York, le baril de "brut léger texan" (WTI) pour livraison en avril prenait 0,62 cents à 82,32 dollars. "Les cours du brut poursuivent leur rebond alors que le dollar accentue sa chute après la décision de la Réserve fédérale américaine (Fed) de maintenir inchangée sa politique monétaire", commentaient les analystes. En effet, le dollar est tombé jusqu'à 1,3818 dollar pour un euro hier matin, son plus bas niveau depuis début février. Par ailleurs, le pétrole était soutenu par la publication mardi de chiffres meilleurs qu'attendu de l'Institut du Pétrole Américain (API) qui ont révélé une progression bien moins que prévu (400.000 barils) des stocks de brut la semaine passée et une hausse de la demande qui a provoqué un repli des stocks d'essence. Sur le plan de l'offre, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui devait tenir une réunion ministérielle à son siège viennois, semble décidée à maintenir inchangés ses quotas de production, fixés à 24,84 mb/j depuis le 1er janvier 2009.