C'est au Centre du diabétique à El Hamma que s'est tenue hier la Journée nationale du diabète. Le thème de cette journée intitulée «Nutrition = Santé», a vu la participation de plusieurs praticiens, toutes spécialités confondues. «Cette journée a pour but de sensibiliser la population sur les dégâts que peut engendrer cette maladie», déclare le Dr Habitouche, chef de service du centre des diabétiques en précisant que l'établissement «est ouvert à tous les malades et même à ceux qui ne le sont pas pour permettre des dépistages précoces». Cette maladie sournoise, qui ne cesse de prendre de l'ampleur dans notre pays, et qui touche des patients de plus en plus jeunes est due en partie à la négligence et au manque de sensibilisation. C'est ce qu'a affirmé notamment le Dr Habitouche qui dira que «le malade atteint de cette pathologie ne consulte qu'une fois que les complications se sont installées alors que nul n'est à l'abri». Durant cette journée portes ouvertes, qui a vu un afflux considérable de visiteurs, l'intervenant a réitéré les différentes prises en charge, disant : «Dans ce centre il existe une prise en charge complète des malades «adultes» : ophtalmologie, cardiologie, bucco-dentaire, médecine générale... car il faut le rappeler, le diabète peut toucher toutes les parties et organes du corps, d'où la nécessité de se faire ausculter périodiquement, et surtout de mesurer sa glycémie». En outre, le chef de service du centre a affirmé avec conviction ceci : «Dans ce centre nous essayons de limiter les complications engendrées par le diabète. Rappelons que 70% des hypertendus sont diabétiques. Il y a aussi des psychologues à l'écoute du malade, car certains ont du mal à accepter leur maladie». Pour être plus performant lors des interventions en urgence, l'interlocuteur insiste sur l'obligation, pour chaque malade, d'avoir une «carte de diabétique», car celle-ci servira de feuille de route à l'urgentiste. Il est important de signaler qu'au cours de cette journée des diététiciens ont largement expliqué l'importance d'adopter une alimentation équilibrée, ainsi qu'une bonne hygiène de vie de même que la pratique d'un sport. Ils expliqueront que cela demeure la meilleure façon de contrer cette maladie «mieux vaut prévenir que guérir». Même les sujets sains sont concernés, cela va de soi et ce régime est important et valable autant pour eux que pour les diabétiques. O. A. A. C'est au Centre du diabétique à El Hamma que s'est tenue hier la Journée nationale du diabète. Le thème de cette journée intitulée «Nutrition = Santé», a vu la participation de plusieurs praticiens, toutes spécialités confondues. «Cette journée a pour but de sensibiliser la population sur les dégâts que peut engendrer cette maladie», déclare le Dr Habitouche, chef de service du centre des diabétiques en précisant que l'établissement «est ouvert à tous les malades et même à ceux qui ne le sont pas pour permettre des dépistages précoces». Cette maladie sournoise, qui ne cesse de prendre de l'ampleur dans notre pays, et qui touche des patients de plus en plus jeunes est due en partie à la négligence et au manque de sensibilisation. C'est ce qu'a affirmé notamment le Dr Habitouche qui dira que «le malade atteint de cette pathologie ne consulte qu'une fois que les complications se sont installées alors que nul n'est à l'abri». Durant cette journée portes ouvertes, qui a vu un afflux considérable de visiteurs, l'intervenant a réitéré les différentes prises en charge, disant : «Dans ce centre il existe une prise en charge complète des malades «adultes» : ophtalmologie, cardiologie, bucco-dentaire, médecine générale... car il faut le rappeler, le diabète peut toucher toutes les parties et organes du corps, d'où la nécessité de se faire ausculter périodiquement, et surtout de mesurer sa glycémie». En outre, le chef de service du centre a affirmé avec conviction ceci : «Dans ce centre nous essayons de limiter les complications engendrées par le diabète. Rappelons que 70% des hypertendus sont diabétiques. Il y a aussi des psychologues à l'écoute du malade, car certains ont du mal à accepter leur maladie». Pour être plus performant lors des interventions en urgence, l'interlocuteur insiste sur l'obligation, pour chaque malade, d'avoir une «carte de diabétique», car celle-ci servira de feuille de route à l'urgentiste. Il est important de signaler qu'au cours de cette journée des diététiciens ont largement expliqué l'importance d'adopter une alimentation équilibrée, ainsi qu'une bonne hygiène de vie de même que la pratique d'un sport. Ils expliqueront que cela demeure la meilleure façon de contrer cette maladie «mieux vaut prévenir que guérir». Même les sujets sains sont concernés, cela va de soi et ce régime est important et valable autant pour eux que pour les diabétiques. O. A. A.