Une récente enquête, menée par les services de la wilaya d'Alger en collaboration avec les services de sécurité et les communes, a révélé que 45 mille familles vivent sur 600 sites de bidonvilles, comprenant chacun environ 2 mille baraques. Une récente enquête, menée par les services de la wilaya d'Alger en collaboration avec les services de sécurité et les communes, a révélé que 45 mille familles vivent sur 600 sites de bidonvilles, comprenant chacun environ 2 mille baraques. C'est ce qu'a révélé hier sur les ondes de la Radio nationale, le directeur du logement de la wilaya d'Alger, Mohamed Smaïl. A ce titre, le responsable a indiqué que les services de la wilaya d'Alger, suivant les orientations du président de la République et du wali d'Alger, ont entrepris dès l'année 2004 des opérations de relogement des habitants de bidonvilles. Une opération qui a touché durant la période 2004-2009 environ 4 mille familles. Cette même période a vu également l'éradication de pas moins de 81 sites d'habitat précaire, souligne l'invité de la radio. De même qu'il a annoncé que la wilaya d'Alger a mis en place, pour cette année 2010, un programme visant le relogement de 12 mille familles. Ledit programme, qui s'étaler de mars à septembre, devrait être toutefois interrompu entre le 15 mai et le 15 juin, période des examens de fin d'année (6ème, BEM et BAC). Selon l'orateur, le plan de relogement dans la wilaya d'Alger a été élaboré «de sorte à ce qu'il prenne en compte les impératifs de développement de la capitale», avec un intérêt particulier pour les bidonvilles situés au cœur de l'«hyper centre» d'Alger à l'instar du site de Diar Ech-Chems qui comprend 1.121 appartements F1. «Commencer donc par ce quartier était indispensable», a affirmé le directeur de l'habitat et de l'urbanisme de la wilaya d'Alger. Ce programme de relogement s'articule, selon le responsable, sur sept axes comprenant le «traitement des cités populaires», «la prise en charge en charge des familles habitant les immeubles menaçant ruine, l'éradication progressive des bidonvilles situés à l'hyper centre de la capitale à l'état insalubre, le relogement définitif des familles habitant les 25 sites de chalets dans la capitale. Le relogement des familles résidant dans des immeubles menaçant ruine dans le périmètre de la sauvegarde de La Casbah, le relogement des familles habitant les cimetières». Enfin, un quota a été attribué aux communes dans le cadre du décret daté du 11 mai 2008. Le responsable a menacé que la «loi sera appliquée» dans le cas où les familles relogées s'aventureraient à reconstruire d'autres baraques. Rappelons que la wilaya d'Alger a bénéficié d'un programme de 35 mille logements inscrits, lequel programme est évalué aux environs de 90 milliards de dinars. En ce qui concerne le vieux bâti, le responsable révélera qu'une étude a été lancée par la wilaya d'Alger en 2006 et les résultats font état d'environ 700 familles à être concernées par le relogement. Il y a, dans ce cadre, une étude de réhabilitation de la wilaya d'Alger qui a été mis en place en collaboration avec le ministère de l'Habitat et dont les travaux ont commencé. Y. D. C'est ce qu'a révélé hier sur les ondes de la Radio nationale, le directeur du logement de la wilaya d'Alger, Mohamed Smaïl. A ce titre, le responsable a indiqué que les services de la wilaya d'Alger, suivant les orientations du président de la République et du wali d'Alger, ont entrepris dès l'année 2004 des opérations de relogement des habitants de bidonvilles. Une opération qui a touché durant la période 2004-2009 environ 4 mille familles. Cette même période a vu également l'éradication de pas moins de 81 sites d'habitat précaire, souligne l'invité de la radio. De même qu'il a annoncé que la wilaya d'Alger a mis en place, pour cette année 2010, un programme visant le relogement de 12 mille familles. Ledit programme, qui s'étaler de mars à septembre, devrait être toutefois interrompu entre le 15 mai et le 15 juin, période des examens de fin d'année (6ème, BEM et BAC). Selon l'orateur, le plan de relogement dans la wilaya d'Alger a été élaboré «de sorte à ce qu'il prenne en compte les impératifs de développement de la capitale», avec un intérêt particulier pour les bidonvilles situés au cœur de l'«hyper centre» d'Alger à l'instar du site de Diar Ech-Chems qui comprend 1.121 appartements F1. «Commencer donc par ce quartier était indispensable», a affirmé le directeur de l'habitat et de l'urbanisme de la wilaya d'Alger. Ce programme de relogement s'articule, selon le responsable, sur sept axes comprenant le «traitement des cités populaires», «la prise en charge en charge des familles habitant les immeubles menaçant ruine, l'éradication progressive des bidonvilles situés à l'hyper centre de la capitale à l'état insalubre, le relogement définitif des familles habitant les 25 sites de chalets dans la capitale. Le relogement des familles résidant dans des immeubles menaçant ruine dans le périmètre de la sauvegarde de La Casbah, le relogement des familles habitant les cimetières». Enfin, un quota a été attribué aux communes dans le cadre du décret daté du 11 mai 2008. Le responsable a menacé que la «loi sera appliquée» dans le cas où les familles relogées s'aventureraient à reconstruire d'autres baraques. Rappelons que la wilaya d'Alger a bénéficié d'un programme de 35 mille logements inscrits, lequel programme est évalué aux environs de 90 milliards de dinars. En ce qui concerne le vieux bâti, le responsable révélera qu'une étude a été lancée par la wilaya d'Alger en 2006 et les résultats font état d'environ 700 familles à être concernées par le relogement. Il y a, dans ce cadre, une étude de réhabilitation de la wilaya d'Alger qui a été mis en place en collaboration avec le ministère de l'Habitat et dont les travaux ont commencé. Y. D.