La deuxième phase est l'étude des dossiers dans la perspective de déterminer les familles qui ouvrent droit au relogement et débusquer les indus bénéficiaires. Cette opération est menée en étroite collaboration avec la wilaya d'Alger, pour pouvoir mener à bien cet ambitieux programme. La deuxième phase est l'étude des dossiers dans la perspective de déterminer les familles qui ouvrent droit au relogement et débusquer les indus bénéficiaires. Cette opération est menée en étroite collaboration avec la wilaya d'Alger, pour pouvoir mener à bien cet ambitieux programme. Le quartier El Hamiz dans la circonscription de Dar El Beida à l'est d'Alger ne semble pas en finir avec l'anarchie. En dépit des efforts consentis par les responsables locaux et la guerre déclarée contre l'informel, commerce et habitat, les choses ne semblent pas s'améliorer notamment depuis quelques mois. Les autorités localess de Dar El-Beïda ont, rappelons-le, mis en place les grandes lignes de leur plan d'action à partir du mois d'avril dernier où une grande partie des bidonvilles à été rasée dans la région pour mener à bien la politique d'éradication des bidonvilles et de l'habitat précaire à travers la circonscription de Dar El-Beïda qui, estime-t-on, abrite plus de mille six cents masures, dont plus de mille sont installées dans la seule localité d'El-Hamiz. Des réunions ont été donv tenues avec pour principal but d'exposer les problèmes des habitants des bidonvilles afin de pouvoir installer ces familles dans des logements décents. Une large opération de recensement menée fin 2007 a fait ressortir l'existence de 1.500 masures, un chiffre qui a augmenté de 100 unités depuis, soit 1.600 habitations précaires selon le recensement de 2008. Les services communaux de cette localité, après la réception des dossiers des familles concernées ont été, rappelons-le, convoquées une à une au siège de l'APC comme première phase de la campagne d'éradication des bidonvilles dans la région et ce, depuis la fin 2008. La deuxième phase est l'étude des dossiers dans la perspective de déterminer les familles qui ouvrent droit au relogement et débusquer les indus bénéficiaires. Cette opération est menée en étroite collaboration avec la wilaya d'Alger, pour pouvoir mener à bien cet ambitieux programme. Mais aujourd'hui encore, des dizaines de bidonvilles poussent encore dans la région comme des champignons notamment dans le quartier N°5 à Hamiz qui contient principalement des logements individuels construits sur des terrains attribués aux citoyens depuis 1989. Le quartier qui abrite deux écoles primaires, un Cem et un lycée en cours de réalisation étouffe aujourd'hui avec des dizaines d'habitations précaires qui occupent la route séparant l'agglomération des établissements scolaires ou encore la rue qui mène au cimetière. Il est important de signaler que l'apparition de ces bidonvilles a écorné l'image du quartier et aussi porté un sérieux coup à la quiétude de ses habitants. "Notre quartier était autrefois paisible et propre, mais avec l'installation de ces baraques et l'arrivée anarchique de ces habitants, notre vie est bouleversée et nous n'arrivons plus à vivre dans le calme", dira un habitant dudit quartier, ajoutant que "le raccordement anarchique de l'électricité de ces gourbis représente un réel danger sur nous et nos enfants obligés aujourd'hui de passer entre ces baraques pour rejoindre leurs écoles situées de l'autre côté de la route et même l'installation primitive du réseau d'assainissement est un danger sur la santé public". Cela sans parler de l'apparition des décharges sauvages et les odeurs nauséabondes qui envahissent les lieux. D'autre part, "plusieurs fléaux sociaux, drogue, vol, etc. sont apparus ce qui augmente les craintes des habitants qui se sentent dans l'insécurité totale". Pas loin de là, un autre quartier dit Ali- Saddek, en bordure de la RN5, connu communément sous le nom de la SNTP El- Hamiz, vit lui aussi un autre genre de souffrance. Une grave pollution causée par une centrale à béton, une infrastructures qui elle aussi a chamboulé l'ordre de vie des habitants, une souffrance qui date de 2002. Ce qui risque de s'inscrire dans la durée dès lors que le terrain est cédé par un contrat d'exploitation de 99 ans. "Aujourd'hui nous n'osons plus nous installer sur les terrasses de nos maisons car l'air est devenu irrespirable", dira un habitant. Il faut noter aussi que les bidonvilles commencent à être érigé dans ce quartier. "A chaque rumeur de relogement, des dizaines de baraques apparaissent". Le pire c'est que cela se passe au vu et au su des autorités concernées. il faut signaler aussi que le relogement des familles habitant les bidonvilles dans la région devient plus que nécessaire et pour les habitants et pour les autorités. Le quartier El Hamiz dans la circonscription de Dar El Beida à l'est d'Alger ne semble pas en finir avec l'anarchie. En dépit des efforts consentis par les responsables locaux et la guerre déclarée contre l'informel, commerce et habitat, les choses ne semblent pas s'améliorer notamment depuis quelques mois. Les autorités localess de Dar El-Beïda ont, rappelons-le, mis en place les grandes lignes de leur plan d'action à partir du mois d'avril dernier où une grande partie des bidonvilles à été rasée dans la région pour mener à bien la politique d'éradication des bidonvilles et de l'habitat précaire à travers la circonscription de Dar El-Beïda qui, estime-t-on, abrite plus de mille six cents masures, dont plus de mille sont installées dans la seule localité d'El-Hamiz. Des réunions ont été donv tenues avec pour principal but d'exposer les problèmes des habitants des bidonvilles afin de pouvoir installer ces familles dans des logements décents. Une large opération de recensement menée fin 2007 a fait ressortir l'existence de 1.500 masures, un chiffre qui a augmenté de 100 unités depuis, soit 1.600 habitations précaires selon le recensement de 2008. Les services communaux de cette localité, après la réception des dossiers des familles concernées ont été, rappelons-le, convoquées une à une au siège de l'APC comme première phase de la campagne d'éradication des bidonvilles dans la région et ce, depuis la fin 2008. La deuxième phase est l'étude des dossiers dans la perspective de déterminer les familles qui ouvrent droit au relogement et débusquer les indus bénéficiaires. Cette opération est menée en étroite collaboration avec la wilaya d'Alger, pour pouvoir mener à bien cet ambitieux programme. Mais aujourd'hui encore, des dizaines de bidonvilles poussent encore dans la région comme des champignons notamment dans le quartier N°5 à Hamiz qui contient principalement des logements individuels construits sur des terrains attribués aux citoyens depuis 1989. Le quartier qui abrite deux écoles primaires, un Cem et un lycée en cours de réalisation étouffe aujourd'hui avec des dizaines d'habitations précaires qui occupent la route séparant l'agglomération des établissements scolaires ou encore la rue qui mène au cimetière. Il est important de signaler que l'apparition de ces bidonvilles a écorné l'image du quartier et aussi porté un sérieux coup à la quiétude de ses habitants. "Notre quartier était autrefois paisible et propre, mais avec l'installation de ces baraques et l'arrivée anarchique de ces habitants, notre vie est bouleversée et nous n'arrivons plus à vivre dans le calme", dira un habitant dudit quartier, ajoutant que "le raccordement anarchique de l'électricité de ces gourbis représente un réel danger sur nous et nos enfants obligés aujourd'hui de passer entre ces baraques pour rejoindre leurs écoles situées de l'autre côté de la route et même l'installation primitive du réseau d'assainissement est un danger sur la santé public". Cela sans parler de l'apparition des décharges sauvages et les odeurs nauséabondes qui envahissent les lieux. D'autre part, "plusieurs fléaux sociaux, drogue, vol, etc. sont apparus ce qui augmente les craintes des habitants qui se sentent dans l'insécurité totale". Pas loin de là, un autre quartier dit Ali- Saddek, en bordure de la RN5, connu communément sous le nom de la SNTP El- Hamiz, vit lui aussi un autre genre de souffrance. Une grave pollution causée par une centrale à béton, une infrastructures qui elle aussi a chamboulé l'ordre de vie des habitants, une souffrance qui date de 2002. Ce qui risque de s'inscrire dans la durée dès lors que le terrain est cédé par un contrat d'exploitation de 99 ans. "Aujourd'hui nous n'osons plus nous installer sur les terrasses de nos maisons car l'air est devenu irrespirable", dira un habitant. Il faut noter aussi que les bidonvilles commencent à être érigé dans ce quartier. "A chaque rumeur de relogement, des dizaines de baraques apparaissent". Le pire c'est que cela se passe au vu et au su des autorités concernées. il faut signaler aussi que le relogement des familles habitant les bidonvilles dans la région devient plus que nécessaire et pour les habitants et pour les autorités.