Sur les travaux du 3e congrès de la LADDH qui se sont déroulés les 25 et 26 mars, Kamel Daoud, président du congrès, a tenu à faire savoir que la reconduction de Me Mostefa Bouchachi à la présidence de la ligue a eu lieu «à l'unanimité», avouant que l'interdiction dont a été frappé le congrès «nous a vraiment bousculés». «Heureusement que nous avons trouvé la parade pour tenir notre congrès», a-t-il toutefois observé. A cet effet, notons que les travaux du congrès devaient initialement avoir lieu au niveau de la Mutuelle des matériaux de construction à Zeralda, mais «à la dernière minute» les autorités concernées ont refusé aux congressistes de leur délivrer l'autorisation. Un refus qui a contraint la LADDH à «déplacer» le lieu du congrès au siège de la Maison des syndicats sis à El Harrach. Pour M. Daoud, une chose est sûre, «le congrès ne s'est pas déroulé dans la clandestinité comme le laissent entendre certaines mauvaises langues». Il dira par ailleurs que les 3 commissions installées à cette occasion ont travaillé «librement» et dans un climat «démocratique», notant au passage un «rajeunissement impressionnant» du Conseil national de la LADDH porté à 56 membres avec le «rajout» de 8 femmes militantes qui vont pour la première fois intégrer cette instance. Y.D. Sur les travaux du 3e congrès de la LADDH qui se sont déroulés les 25 et 26 mars, Kamel Daoud, président du congrès, a tenu à faire savoir que la reconduction de Me Mostefa Bouchachi à la présidence de la ligue a eu lieu «à l'unanimité», avouant que l'interdiction dont a été frappé le congrès «nous a vraiment bousculés». «Heureusement que nous avons trouvé la parade pour tenir notre congrès», a-t-il toutefois observé. A cet effet, notons que les travaux du congrès devaient initialement avoir lieu au niveau de la Mutuelle des matériaux de construction à Zeralda, mais «à la dernière minute» les autorités concernées ont refusé aux congressistes de leur délivrer l'autorisation. Un refus qui a contraint la LADDH à «déplacer» le lieu du congrès au siège de la Maison des syndicats sis à El Harrach. Pour M. Daoud, une chose est sûre, «le congrès ne s'est pas déroulé dans la clandestinité comme le laissent entendre certaines mauvaises langues». Il dira par ailleurs que les 3 commissions installées à cette occasion ont travaillé «librement» et dans un climat «démocratique», notant au passage un «rajeunissement impressionnant» du Conseil national de la LADDH porté à 56 membres avec le «rajout» de 8 femmes militantes qui vont pour la première fois intégrer cette instance. Y.D.